bonjour leffert
bon résumé d’une longue histoire humaine. pourtant en rappelant ou faisant remonter le capitalisme aux sociétés antiques, tu as le tord d’adapter une évolution de nos préoccupations « substantivistes » (nourricières) qui sans nul doute ont débouché sur un moyen d’échange facile que fut la monnaie après le trocs, et donc facilitait l’accumulation virtuel que ne n’offrait pas particulièrement les marchandises. le choix de la représentation de la monnaie, est une autre histoire qui dépend de la nature humaine, même si elle s’ajoute et contribue au développement du capitalisme.
la difficulté de séparer recherche de la richesse et capitalime fait accoler au sociétées antiques un concept qui s’est développé aprés les manufactures et qui a atteind son apogé aujourd’hui avec la financiarisation des relations économique.
ce constat pose parfois que certains auteurs considère pour assoir la justification du capitalisme que l’homme est un homo économicus. Ce qui peut être caractérise, une acivité marchande qui sest développé avec la sédentarisation, mais ne peut ôter sont caractère social sans lequel l’homme, malgré toutes les difficultés liées à la surpopulation dans un espace restreint, n’aurait jamais permis le développement du capitalisme tel que nous le connaissons aujourd’hui.
cordialement.
l’homme est donc un homo sociabilis qui, quelles que soit les difficultés liées à la surpopulation est capable de déveloper un mode d’organisation différent de celui du capitalisme ou du communisme. ceci ne nait pas dans un cerveau mais est le fruit de miliards d’actions qui se construisent sans que nous en ayons toujours la perception évidente. aujourd’hui un certain nombre d’indicateurs sonnent son trépas du capitalisme dans ce millénaire, ce qui ne signifie pas la fin du commerce, mais une autre forme de relations économiques.
le problème est que souvent se changement d’état comme la sublimation en physique se fait dans la violence.
cordialement.