bonjour fatha
je te recopie mon point de vue que j’ai déjà formulé dans un article de hier.
Intéressante ton analyse, j’avoue que je ne me passionne pas pour ce débat
qui est un énième sujet thématique pour évacuer l’interrogation sur les
conséquences d’une crise systémique qui va laisser bien des
« cadavres ».
il n’échappe à personne que le gouvernement vise les prochaines élections et
donc agite chaque fois le sujet sécuritaire, même s’il le fait avec habileté.
Qui pourrait penser qu’un tel débat n’a pas pour but de poser le problème de
la place de l’islam en France. Dire le contraire est prendre des gens pour des
cons, car le staf du président c’est bien que dans l’esprit des français ce
lien se fera et c’est sur se lien qu’il compte pour récupérer des voix par la
craint qu’inspire l’islam dont l’on fait depuis le 11 septembre le responsable
de nos maux.
L’islam est aussi dangereux que toutes les religions qui ne se sont pas
réformés dans leurs rituels millénaire. Ce n’est pas la foi en un dieu qui
porte nuisance c’est le déterminisme des textes et leur application intégriste.
Sincèrement s’emparer de ce débat pour dire quoi que je suis français parce
que je n’ai pas choisi ce territoire pour y naître et que, élevé dans son
histoire et sa géographie, sa langue et sa citoyenneté j’y appartiens, que je
sais que ses valeurs sont fluctuantes au grès des connaissances des sciences
humaines, que nous sommes attaché à ce qui nous protège comme n’importe quel
animal.
Crois-tu vraiment que si l’on avait organisait un débat national sur les
droits de l’homme il en serait sorti quel que chose. J’ai longtemps pratiqué la
chose pour savoir que la loi du nombre est un frein car on ne peut rien retirer
de plus de soixante millions de personnes qui discutent, car une vie ne
suffirait pas à rédiger ce qu’ils auraient dit.
Donc à ceux donc c’est la fonction d’animer un débat de le faire, et ceux
qui se sentent concerné d’y participer.
cordialement