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Commentaire de xavdr

sur Climategate (3) : le pitoyable traitement de l'information par les ''grands médias'' français


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xavdr 28 novembre 2009 01:58

@ Nobody knows me : vous décrivez le problème mais cela n’absoud en rien Phil Jones. En effet masquer le fait que la dendroclimatologie était en conflit avec les thermomètres réchauffés des ayatollah Jones et Hansen, voila qui méritait d’être affiché en plublic pour faire progresseer la science et informer les décideurs sur les lacunes béantes de ladite science. Au lieu de cela ces scientifique ont optimisé leur mangeoir au dépend de la planète en cachant les pitoyable lacunes de leur science que par ailleurs ils prétendaient mensongèrement « blindée ».


Les arbres ont été souvent calibrés sur la période récente à l’aide des thermomètres locaux qui dans le cas des arbres étudiés, sont en zone forestière donc rurale. Ce que cache les courbes mutilées du GIEC ce sont donc le fait que les thermomètres ruraux sont en désaccord avec les thermomètres urbains utilisés pour calculer les températures globales. Or les récahuffistes délcament dogmatiquement que certes leurs thermomètres sont au fil des années de plus en plus souvent devenus proches de bouches de climatisations, parkings en bithume, tôle ondulée et autre barbecues, mais eux les réchauffistent aurient inveter des filtre mathématiques à barbecue et autres peretubations. Or de toute évidence ces filtres sont inopérants voire même contre-opérants puisque les cumuls des « corrections » du GISS de l’ayatollah Hansen se trouve en exponentielle positive duant la seconde moitié du 20ème siècle, alors qu’il devrait être de plus en plus fortement négatif. Il y a donc quasi certitude de triche avec les thermomètres.

Rappelons que le territoire où les thermomètres sont le plus fiables et ont été audités est celui des USA. L’audit a conduit, simplement après correction des erreurs les plus grossières dans les post traitements, à la conclusion que l’année 1934 était la plus chaude du siècle. Encore pourrait on émettre des doutes sur les erreurs plus fines associées aux ilots de chaleur urbains.

Bilan : la hausse thermométrique est deux fois plus importante sur terre que sur mer, et aussi on trouve un ratio de cette nature entre les cantons à thermomètres urbains et les cantons à thermomètres ruraux.

 


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