En admettant que le réchauffement global soit dû à une augmentation de CO2, il faudrait démontrer que le corollaire est vrai pour accréditer cette (hypo)thèse scientifique !
Sans oublier d’expliquer bien sûr de préciser quels facteurs pourraient être à l’origine de la baisse de CO2 et donc du refroidissement des températures !!!!
Le réchauffement n’est pas confirmée par les données.
Refroidissement global de 0,71 deg C de 1878 à 1911, soit 33 ans
Refroidissement global de 0,48 deg C de 1944 à 1976, soit 32 ans
Les hommes utilisaient-ils moins d’énergies fossiles
émettrices de CO2 sur ces périodes ? avaient-ils moins d’activités
industrielles ?
Compte-tenu de l’augmentation de la population sur ces mêmes périodes
c’est peu probable et même d’emblée inacceptable comme explication.
Il y a une autre grande thèse concernant le
réchauffement climatique, qui est passée sous silence ou discréditée,
mais qui me paraît nettement plus crédible.
Celle de cycles de températures terrestres liés à l’activité solaire, les océans jounat le rôle de
régulateurs thermiques.
L’activité solaire est particulièrement intense depuis deux, trois
décennies.
http://www.dailymotion.com/video/x2bymx_larnaque-du-rechauffement-climatiqu_news
En fait toute la démarche environnementale planétaire est en train d’être détournée en business planétaire !
Ce n’est pas très dur, il suffit de garder l’hypothèse
qui arrange les affaires, ici l’activité humaine et les énergies
fossiles « coupables »
en l’occurrence. Les centrales nucléaires n’émettent que de la vapeur
d’eau, donc sont « propres » en terme de pollution atmosphérique.
La fermeture des mines de charbon en GB, puis en France
et Allemagne ... coïncident avec l’émergence du nucléaire.
Dissuader l’emploi d’énergies fossiles, dont chaque nation dispose peu
ou prou, est une façon de contrôler l’énergie, ce contrôle s’opérant
par le biais d’une toute petite poignée de consortiums.
Or, il semble que nos émissions de CO2, (même si elles
ne sont pas idéales pour l’atmosphère) ne représentent je pense qu’une
quantité très négligeable par rapport à la masse totale d’émission naturelle de CO2.