Si vous cherchiez un peu, vous sauriez que Georg Diers a enfin témoigné il y a déjà quelques temps.
« (Georg Diers) se replie alors dans le Tiergarten, jusqu’à la Siegessaüle et au Flakbunker du zoo qui vient de subir un bombardement puis il revient vers la Porte de Brandebourg où il aperçoit un drapeau rouge. Là un agent de liaison le rappelle : il doit rejoindre la Chancellerie avec son char Tigre II. C’est ici qu’intervient la partie la plus étonnante, et la plus discutée, de son témoignage. George Diers raconte qu’il est convoqué au Bunker où il rencontre le général Krebs, le Brigadeführer Mohnke et le Dr Goebbels. Ce dernier lui annonce que Hitler est mort. Mais son corps n’aurait pas été totalement consumé par l’essence qui a été versée. L’Uscha. Diers ramène une des mines antichars gardées dans son Tigre II servant à le saboter en cas d’urgence (il en utilisera d’ailleurs une autre le lendemain pour détruire son char). Il place la mine dans la tranchée où se trouvent les restes du corps qui sont détruits par une très forte explosion.
[...]
Mohnke, Günsche, n’en ont pas parlé dans leur témoignage, alors qu’ils ont décrit les »funérailles« de Hitler et de son épouse. Mais cet événement s’est produit plus tard, alors que tous se préparaient au départ, angoissés sur leur sort, ayant alors d’autres préoccupations, et il fallait remonter dans les jardins pour se rendre compte de ce »dynamitage« . »
(source = pas sur internet, cherchez)
Les Soviétiques ne trouvant rien à l’emplacement indiqué par les témoins de la tentative d’incinération ont décidé d’inventer une découverte des corps, ainsi qu’une autopsie, pour couper court à toutes les folles rumeurs pouvant retarder/empêcher la dénazification de l’Allemagne, dénazification qui d’ailleurs n’a jamais été complètement achevée.
Dans le même ordre d’idées, il a enfin été prouvé qu’un petit groupe de scientifiques allemands dirigé par des SS était bien plus avancé qu’on a pu le prétendre autrefois au niveau de l’élaboration d’une arme nucléaire.
Au moins deux armes « tactiques » de faible puissance ont été expérimentées (dont l’une le 17 mars 1945).
(Rainer Karsch, La Bombe de Hitler, Calmann-Lévy 2007).
L’Histoire est toujours (ré)écrite par les vainqueurs.