Tout à fait d’accord avec toi, foufouille.
De plus, ce genre d’« étude » est totalement partiale et ne tient pas compte de l’état de satisfaction de la population, de son savoir-vivre général, des facteurs de stress qui empèchent de simplement « se sentir à l’aise » dans un pays.
On pourrais par exemple parler de « qualité de vie » d’une manière totalement
différente : quand on constate de réels liens sociaux à tous niveaux de la population, une concertation traditionelle constante de type « table ronde » pour régler tous les problèmes, une « embiance » de rigolade et bon-vivant permanante, une certaine sagesse populaire et un très grand respect de la place de l’autre dans la conversation. (ne pas chercher à toujours contredire, mais respecter le fait que tout le monde à ses opinions), un comerce de rue de proximité ACCUEILLANT et ne déversant pas ses frustrations sur le client à coup de « tirage de gueule », (une grande absence de « tirage de gueule » en général), une structure fmiliale unie permetant de s’épanouir, oú les vieux et les tout jeunes se côtoient, permettant un dialogue trans-générationel telement utile pour le bonheur des gens... quand on analyse toutes ces différences, on comprend pourquoi certains pays d’AFRIQUE par exemple, ou certains autres pays tropicaux pas très riches (même réputés violents pour certains) possèdent des habitants bien moins frustrés que les français, se donnant les moyens de se construire une qualité de vie exceptionelle comparé à ce que leur propose leur gouvernement.
Alors ne me parlez pas de paradis...