@ l’auteur
"La version officielle. Il fallait le faire, principe de précaution
oblige et si on ne l’avait pas fait on nous l’aurait reproché. Ainsi se
dédouanent les autorités."
Pourront-ils se dédouaner et encore invoquer le principe de précaution, quand on a connaissance de ce document de septembre 2007:qui définit les grandes orientations en matière de santé publique (je cite)
ORGANISER UN PROJET NATIONAL FORT AUTOUR DE LA
VACCINATION,
"Si les pouvoirs publics ont pour ambition
d’améliorer les performances de la politique vaccinale française, la
priorité est d’accorder à la vaccination une place majeure dans la
politique nationale de santé publique."
et ÉTABLIR UN PLAN NATIONAL POUR LA
VACCINATION
"La création d’un plan national de santé
publique en faveur de la vaccination, dès 2009, constituerait un
instrument privilégié pour répondre aux difficultés
actuelles de la politique vaccinale française.«
Rapport n° 476 (2006-2007) fait au nom de l’Office parlementaire d’évaluation des politiques de santé, déposé le 28 septembre 2007
citations voir >> ÉTUDE ET ANNEXES en fin de document.
Roselyne Bachelot étant ministre de la santé depuis mai 2007, pouvait-elle ne pas être au courant de cette orientation ? de cette volonté politique ! ainsi que de nombreux collaborateurs et de nombreux hommes politiques ? et son chef de gouvernement, et un certain nombre de députés et de sénateurs, ainsi que de nombreux responsables de Labos, considérés très officiellement comme des »partenaires naturels des pouvoirs
publics."
C’était son job de mettre en œuvre cette politique, non ?
Le reste c’est de la mise en scène.
Scénario politique vraisemblablement identique dans d’autres pays.
L’’annonce par l’OMS en juin 2009 d’un niveau 6 ( justifié ? ), n’étant qu’un signal politique.
Les médias n’y ont peut être vu que du feu ! l’enfumage brouille la vue.