Grippe H1N1, les médias complices d’une manipulation gouvernementale

Le temps du bilan approche pour la pandémie grippale, ou du moins, l’épidémie car évoquer une pandémie n’a aucun sens, sauf à désigner chaque année la grippe saisonnière comme une pandémie puisqu’elle répond aux mêmes critères que la grippe H1N1 de 2009, à savoir un nouveau virus circulant et une affection à l’échelle mondiale. Le moins qu’on puisse dire est que la campagne de prévention menée par le gouvernement sous la responsabilité officielle de la ministre Bachelot, n’a pas fait l’unanimité. Pourtant, les critiques restent feutrées et l’on s’étonne que la critique n’ait pas envahi les ondes médiatiques à notre époque où la polémique est devenue l’ingrédient fondamental de la communication politique. Il suffit d’une petite phrase déplacée et les médias s’emparent de l’affaire. Alors, étrange, dira-t-on, ce silence radio sur le plan contre la pandémie déclenché et mis en place avec des moyens sans précédents pour contrer une grippe moins sévère que les précédentes qualifiées de saisonnières. De quoi susciter l’étonnement.
Certes, nos médias nationaux ont laissé entrevoir quelques erreurs dans la campagne de vaccination, évoquant la mise en place des centres et la mise à l’écart des médecins généralistes. Auparavant, quelques informations ont filtré sur la qualité douteuse des vaccins fabriqués hâtivement. La classe politique s’est bien gardée de critiquer le gouvernement, sauf quelques timides remarques émanant du PS et d’autres formations. Ces faits représentent une sacrée énigme. Qu’il est facile à solutionner pour peu qu’on y mettre de la raison. Cette pandémie a produit dans les esprits de nos gouvernants un sentiment de menace nationale au point de déployer une ligne Maginot contre le virus. Comme on le sait, ce genre de situation se prête à l’effacement des clivages politiques au profit du consensus national destiné à contrer un fléau ou un ennemi. Bref, presque un cabinet de guerre. Et comme en pareille situation, il n’est pas question de démoraliser le citoyen, alors, les médias n’ont pas regardé de près la situation, s’en tenant à diffuser force chiffres et autres faits spectaculaires propre à susciter auprès des spectateurs le sentiment d’une menace imminente. Mais tout n’a pas été verrouillé, pour preuve la prestation de Patrick Pelloux, agitateur de la société civile devenu icône médiatique depuis la canicule et invité à commenter la vaccination dans l’émission de Laurent Ruquier. Une critique assez sévère de la campagne menée comme une opération militaire avec des centres gérés par les préfectures. Mais rien sur le fond, sur les erreurs des experts et le principe même du plan contre la pandémie.
La version officielle. Il fallait le faire, principe de précaution oblige et si on ne l’avait pas fait on nous l’aurait reproché. Ainsi se dédouanent les autorités. On pourra s’étonner que tant de béni-oui-oui de la presse prennent la défense de la ministre. Les mêmes sont ceux qui n’ont pas daigné aller chercher les contre-expertises dans ce dossier et pour le dire ouvertement, la France peut avoir honte de ses médias fascistes, les mêmes que ceux qui outre-Atlantique, ont certifié que Saddam disposait d’ADM. Un peu de raison amène vers des vérités simples. On se demande pourquoi la résiliation des commandes de vaccins n’a pas été effectuée dès novembre 2009. Tout simplement parce que cette information aurait troublé la campagne de vaccination, poussive au début puis bien lancée après quelques effets médiatiques bien orchestrés, par exemple ces cas de patients crachant leurs poumons en sang et cette mutation norvégienne du virus. Belle opération de communication. Avec la servitude volontaire des médias de masse qui ont quand même joué le jeu en parlant des effets indésirables des vaccins pour respecter ce qui reste de déontologie. L’objectif du gouvernement était d’amener le maximum de gens dans les centres de vaccination pour tester un plan. En mai 2009 j’évoquais ici les cobayes de la machine sanitaire. Culture de l’efficacité et du chiffre. Ça s’arrête là, ça ne va pas plus loin. Le président ne s’en cache pas. Il fallait tester la ligne Bachelot contre l’envahisseur viral.
Il est certain que la grippe de 2009 a été singulière, en avance sur le calendrier habituel et surtout moins grave que les années précédentes alors que les autorités ont dramatisé à outrance cette fausse pandémie dans un seul but, amener les gens dans un centre de vaccination et tester un plan concocté par les stratèges de la haute fonction publique pour parer à une menace nationale, voire planétaire. Il y aurait eu une manipulation et une dramatisation orchestrée par les autorités française. Des annonces de chiffres et de décès sans aucun recul statistique ni analyse. Juste pour effrayer la population et amener les gens à se faire vacciner. Je vais vous révéler une information. Je tiens de source sûre des données provenant d’un réseau SOS médecin local ayant constaté la fin de l’épidémie au vu des cas examinés alors que les autorités prétendaient le contraire. Ces infos ont même été divulguées par un journal local qui s’est fait par la suite remonter les bretelles par les services de la préfecture. Je présente cela comme un scoop mais depuis des mois, je n’ai cessé d’écrire sur ce sujet en envisageant une manipulation des chiffres et je ne pense pas m’être trompé, étant presque certain d’être entré dans la logique du système et dévoilé tout ce qui pouvait l’être sur le plan exotérique. On pourra toujours lire les diagrammes de SOS médecin, constater que l’épidémie déclinait début décembre, qu’il y a distorsion entre le nombre d’appels pour syndrome grippal et les diagnostics relevés. Actuellement, moins d’un appel sur dix est diagnostiqué comme grippe. Cette pandémie aura été une « irréalité phantasmée » par les autorités et les gens, cibles de la manipulation.
La conclusion c’est que les Français ont été manipulés, avec la complicité des médias de masse qui sans vergogne ni honte, persistent dans leur défense des autorités, adoptant le niveau intellectuel du bistrot et de la morale de précaution adaptée pour les beaufs. D’autres pays ont géré cette fausse pandémie différemment. Je n’ai pas grand-chose à rajouter. La vérité sera établie, si les intéressés le veulent, par une commission d’enquête.
43 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON