Juste un petit rappel d’un article récent :
Dernièrement,
les journalistes, vu le manque d’audience des journaux officiels,
remettait le couvert et pointaient, peut-être à juste titre, les
blogueurs sur la sellettes des fautifs, des mangeurs de postes
officiels et rémunérés. Les internautes n’ont pas le « métier » pour
exercer le transfert d’informations. Ce n’était pas la première fois. Le problème était soulevé déjà en 2005 avec les blogs encore gestation. L’année
passée, une émission télé ,complète, était consacrée au sujet avec un
certain humour avec les forums comme pierre de touche.
La crise aidant, la moutarde monte et on se défend de plus en plus fort de part et d’autre.
Tout dépend de ce que chacun des bords se charge de traiter dans
l’information. Seul l’originalité aura le dernier mot. La
complémentarité, voilà la solution à rechercher. Copier l’objectivité
vraie ou fausse ou rendre l’information à l’échelle de la population
avec plus de la subjectivité. En un mot, « humaniser » l’information. Les
journalistes ont du soucis à se faire., était-il dit. Les internautes,
tout autant. Les lecteurs sont tellement volatiles dans leur besoin vu
l’étendu de l’offre. La fidélité des consommateurs d’informations est
tellement peu sûre. Tous pourraient se retrouver perdants.
L’information, elle, ne demande pas mieux d’être diffusée à sa juste
valeur. Elle ne sera que ce que ses diffuseurs en font. Par une volonté
d’intéresser, comme point d’honneur. Par l’intermédiaire de buts moins
avouables, cela laisse toujours des vaincus dans leurs rangs. Les
gâche-métier, ce serait eux.