à bonnes idées qui a dit : « J’ai bien peur qu’on bouffe du nucléaire jusqu’au dernier demi-milligramme
d’uranium. »
Vous avez bien raison d’exposer vos craintes : cela me
permet d’exposer publiquement un point important.
On ne « bouffe pas du nucléaire » comme vous le
dites si élégamment, parce que tous les « déchets » du nucléaire sont
soigneusement confinés et mis hors de porté des humains et de la nature.
Mais, si l’on considère l’utilisation des énergies dites « renouvelables »,
on s’aperçoit qu’elles imposent systématiquement l’utilisation massive de centrales
thermiques (charbon, gaz, pétrole et même lignite) – l’exemple du Danemark et
de l’Allemagne est formel.
Or, les centrales thermiques diffusent, en masse énormes et
sans aucun contrôle, du CO2, du CO (qui est un gaz mortel), des SOx et des NOx
qui sont très nuisibles à la santé et à la nature, des particules pathogènes dont
certaines sont cancérigène, et même de la radioactivité (pour le charbon et le
lignite).
Ce sont donc bien les énergies renouvelables qui obligent à
polluer la nature et qui forcent les populations à manger et à respirer des substances
dangereuses sans aucun contrôle, il n’est pas inutile de le répéter.
Et puisque nous en sommes là, nous pouvons nous demander
comment il se fait que les si nombreuses associations qui prétendent agir pour
la protection de la nature et, pendant qu’elles y sont, du climat (comme si
elles y pouvaient quelque chose), pourquoi donc ces associations ne se
préoccupent nullement des ravages causés par la combustion ?
C’est pour assumer leur « indépendance » ?