bonjour antoine
de la cour des miracles, à nos cités ghettoïsées, en passant par tous les bidons ville, la pauvreté à toujours généré de la violence, car forcément ce sont les derniers de la compétition qui se retrouvent là.
parmi eux il y a la jeunesse qui à besoin d’un espace ou transgresser l’autorité, et les us et coutumes, ce n’est pas aux vieux « cons » (sans irrespect) que l’on doit d’avancer ; ils assurent la stabilité et délivre la sagesse qu’a pu leur apporter le même vécu. ce cheminement est inaliénable.
mais suivant la condition sociale où il se déroule les expressions ne sont pas identiques, voire violentes par le phénomène de bande ou de groupe qu’entraine le partage d’un espace social identique.
la télé à développé une symbolisation, par des comportements mémétique,que ce soit des voitures qui brulent, des saccages des représentations publiques, tous ces actes ont une signification et se déroulent dans des mêmes conditions et lieux similaires.
de la même manière la compassion affiché à chaque drame qui font la une ou pas, par des dépôts de fleurs, est l’élévation d’un catafalque pour l’événement.
ces « rituellisation » ont du être interprétées par les sociologues, à mon sens elles sont le symbole d’une reconnaissance de l’impuissance des politiques d’apporter une solution aux violences produites par la pauvreté par d’autres moyens que la police, et en même temps l’expression d’une détresse.
l’on ne peut espérer des jeunes une conscience politique, justement parce qu’ils sont jeunes dans des lieux ou règne souvent l’inculture des derniers.
cordialement