Si l’on ne peut que constater la fonte accelérée des glaces du pôle Nord et du Groenland, je suis étonné de ne plus entendre parler, de la part des réchauffistes, des risques d’ altération du Gulf Stream par un apport excessif d’eau douce, ce qui amènerait, en cas d’un brutal arrêt de ce courant, au retour à une ère glaciaire dans nos lattitudes septentrionales.
Entre les articles qui disent que le Gulf Stream est insensible au réchauffement climatique (http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/climatologie-1/d/le-gulf-stream-insensible-au-rechauffement-climatique_7793/)
et ceux qui prétendent le contraire (http://www.notre-planete.info/actualites/actu_784_debit_gulf_stream_circulation_thermoh aline.php)
Pas évident de s’y retrouver.
Par contre, sur un strict plan de l’impact médiatique, dire que si le réchauffement climatique continue, Paris et New York seront sous la glace aurait beaucoup plus d’effet que de prévoir que Brest aura bientôt le climat de St Tropez.
J’aurais donc tendance à penser que, si le filon n’a pas été exploité, la théorie de l’arrêt du Gulf Stream doit faire l’objet de nombreuses thèses contradictoires.
Si quelqu’un peut m’en dire plus, je suis toute ouie.