1) Globovision et Rctv pouvait être vus seulement par cable (maintenant Rctv même pas comme ca).

Mois de 30% de la population vénézuélienne peut donc voir quelque chose negative sur Hugo de Sabaneta et son gouvernment à la tele. Le Vénézuéla n’est pas l’Europe : les hotels pour les touristes et la capital : c’est n’est pas 70% du Vénézuéla. 70% de la population peuvent voir seulement de la propagande et des soap operas.

2) Les vénézuéliens ne lisent pas beaucoup, les journaux qui ne sont pas au service du régime ont une circulation très limitée et on peut les trouver presque seulement dans les grandes villes

3) Hugo de Sabaneta n’as pas distribué de la richesse, il a eu seulement la fortune d’avoir un prix du pétrole qui est maintenant plus de 300% plus haut qu’en 1998 (et en 2008 il était encore plus haut). La corruption et l’injustice sociale, déjà terribles avant Hugo, est maintenant pire.
Seulement les petrodollars, plusieurs fois cela qu’on avait en 1998, ont permis la distribution des mises de pain, mais pas 300% plus qu’en 1998, même pas 50% en 2007.
Et depuis fin du 2007 les pauvres ont mois d’argent (cela veut dire que les revenus réels sont plus bas maintenant).
Les personnes qui ont profité vraiement sont les membres de la « bolibourgeoisie » et celui du Ancién Régime du toujours, tanque qu’ils ne se melangent pas dans la politique.

Vous dévriez vous informrer des fortunes de Diosdado cabello, Rangel, chacón, même du clan du président.

4) Le culte de personalité a pris une dimension vraiement dégutante

5) Le président du Vénézuéla oblige aux radios et à la télevision à trasmettre plusieurs heures des ses monologues chaque semaine. cela sont des discourses ou il dit que tous cee qui ne l’aiment pas sont des traiteurs.
Il y a quelques il disait qu’il était « le peuple ». Mais cela n’est pas la prémiere fois.
L’opposition n’a pas de la chance de répondre aux accusations par la tele ou la radio nationale, qui sont du peuple éntiere, et pas seulement du gouvernement au pouvoir.

6) le président du Vénézuéla n’accepte pas avoir des interviews avec les politiques de l’opposition ou avec des journalistes qui puissent être critiques, même pendant les élections ; il n’accepte pas que de « journalistes » gouvernamentaux ou « filtrés » qui font des quéstions stupides (est-ce que vous détestez le peuple des Etas-Unis ? est-ce que vous vouler être un dictateur ? est-ce que la criminalité a augmenté dramatiquement aux slums comme l’opposition dit ? (pas de chiffres pour repondre à ses négations)

Un président qui n’a pas le courage de répondre LIVE à de quéstions difficiles est un couard.

Je voudrais démander aux défenseurs du régime chavista qu’est ce qu’ils pensent d’une « révolution » avec un tel culte de la personalité, avec des leaders qui sont très riches, avec un président qui dit que Akhmadinejad et Mugabe sont des démocrats