bonjour martine
sans remettre en cause les écrit de wieviorka, le "racisme que nous perpétuons est un résidu de l’arianisme dont nous n’aimons pas trop rappeler quel en est son auteur.
Le comte Georges Vacher de Lapouge, né le 12 décembre 1854 à Neuville
de poitou et mort le 20 février 1936 est
un antropologue français. Magistrat puis bibliothécaire, il est un théoricien
de l’Eugénisme et une figure de l’An troposociologie.
Darwinniste convaincu et persuadé que le sort du monde repose sur la
victoire des aryens sur les juifs, il publie en 1899 le texte de ses cours sous
le titre : L’Aryen, son rôle social, sous-titré « cours libre de science
politique, professé à l’Université de Montpellier (1899-1900) », qui a
fourni les éléments fondateurs de l’antisémitisme nazi.
À partir de ses travaux d’anthropologie, il a théorisé scientifiquement
sa vision raciale et raciste du monde. Il oppose la race blanche, aryenne, dolichocéphale,
porteuse de grandeur, à la race brachycéphale, « inerte et
médiocre ». Classant et hiérarchisant les races humaines, il détermine
plusieurs types en Europe :
- l’Homo europeus, grand
blond (anglo-saxon ou nordique),protestant, dominateur et créateur ;
- l’Homo alpinus,
représenté par l’Auvergnat et le Turc, « parfait esclave craignant le
progrès » ;
- l’Homo contractus, ou
méditerranéen, enfin, incarné par le Napolitain et l’andalou, appartenant
aux races inférieures.
certes il n’y avait peut être pas de malveillance en cela, seulement la perception d’un environnement où le nord paraissait plus entreprenant que le sud. nous ne sommes plus a cette époque pour juger de la pression environnementale nous n’apprécions que des récits.
je ne crois plus qu’il y ai beaucoup de racistes de ce type hormis ceux qui vénèrent encore la croix gammé, mais ce n’est pas le cas de tous ceux qui en définitive sous ce vocable cachent l’atavique peur de l’étranger, celui qui vient manger notre pain.
si notre espèce est une chaque élément qui la compose ne reconnait pas forcément son semblable comme son ami surtout s’il vient empiéter sur son territoire d’où il retire sa subsistance, et a cela il faut ajouter toutes les référence et symboles qui constituent les critères qu’ils se sont imposés pour vivre en collectivité et qui les sépares des autres groupes parce que chacun de son côté en a fait de même et s’opposent leur culture comme des vérités immuables qui en ont été est sont meurtrières encore.
cordialement.