bonjour olivier
la science est souvent l’otage des politiciens, le sommet de Copenhague en a été un bel exemple, la H1N1 aussi, le miroir de notre société est devenu un palais des glaces.
il seraient fabuleux que diminuant les puits a carbone naturel et émettant de plus en plus de co2, il n’y ait pas une incidence qui en découle. il n’est pas utile d’être scientifique pour comprendre cela, également que la maitrise de la fusion nucléaire n’est qu’un danger réel en l’absence d’un financement assurant sa fiabilité et la destruction de ses déchets.
si le risque nucléaire existe, et ne peut dans l’absolu être évité, le danger vient essentiellement du fait que le renouvellement prévu est reporté pour des raison financière et l’on se retrouve encore à faire courir des risque aux populations pour des raisons de fric. il est juste que le réchauffement fait moins courir de risque que le nucléaire, mais le rapport a la pollution ne se limite pas a cela malheureusement.
le déplacement des populations n’est pas un problème en soit, non plus, c’est le lot des hommes de migrer comme du reste des animaux , ils serait extraordinaire d’admettre l’évolution de toute chose et de se plaindre qu’elle à lieu, en niant tous les paramètres qui le signale. alors que l’on discute sur la vitesse a laquelle elle se propage, si l’acidité des océans est utile au développement des coraux et autres, pour justifier que l’on ne restreigne pas les ressources sur lesquelles nous avons construite notre prospérité est un débat politique et non scientifique.
cordialement.