bonjour emma
"La privation de liberté est la punition la plus cruelle qui soit :
elle doit être justifiée et ne durer que le temps strictement
nécessaire ; ce qui nécessite que soient déployés les méthodes et
moyens permettant une prise en compte réelle du profil psychologique de
chaque détenu et de son évolution, afin de substituer à la tyrannie
aveugle du calendrier une lucidité éclairée d’humanisme constructif.
Ni les philosophes ni les sociologues ne contrediront cela."
le président avait dit qu’il serait avant tout celui des victimes, il est clair que partant de là il y a une discrimination qui s’opère, en plus du fait que les crimes et délits sont devenu un commerce électoral, il y a peu de chance qu’un élan humaniste viennent du pouvoir.
si la société a su prendre en compte la souffrance des victimes et encourager la protection des plus faible il n’en reste pas moins vrai que le crime n’est que social indépendamment de ceux pathologiques, et a ce titrela société devrait pouvoir comprendre ce que des hommesxmoins instruit que nous avaient compris en instaurant le pardon comme solution au désirs de vengeance qui nous habite tous devant un drame, sauf nous ne sommes pas dans l’ère des philosophes et des sociologues personne ne les écoutes, car la sérénité nécessaire a cela est absente, et le mal être ainsi que la peur de notre société se répercute sur ses perceptions. nous sommes dans un développement de la sous-culture, alors que dans le même temps les neuroscience nous en apprennent plus sur les traumas autant des victimes que des peines infligés a leur agresseurs et de manière indicible, il s’agit moins pour une bonne frange de la population de trouver un sens à la peine que de s’assurer du vengeance apaisante allant jusqu’au souhait refoulé d’un supplice qui ne manquerait pas d’apparaitre si la loi ne nous l’interdisait pas. ainsi est la nature humaine depuis des millénaires. la civilisation nous pousserait a comprendre cela, mais force est de constater que c’est le chemin inverse que nous prenons chez nous attaché à un certain archaïme.
cordialement