Le problème c’est qu’en mettant en place des capacités énergétiques du moyen-âge (eau, vent, soleil), la population reviendra à un niveau en rapport aux technologies de cette époque soit environ 500 millions de personnes. Les pays en développement ne le feront pas. Et nous on serait bien fou de le faire.
Il y a bien suffisamment de problèmes urgents à régler. L’eau, la finance, etc...
En plus, je n’ai pas aimé que l’on me manipule et que l’on m’empropagande la tête ces dix dernières années, je n’aime pas non plus ces manières de discriminer certains chercheurs. Le mensonge ne paiera pas. La politique doit se fonder sur les faits.
Pour le tabac, si la volonté était vraiment de résoudre des problèmes, plutôt que de taxer, ils auraient déjà testés depuis longtemps, les hypothèses du docteur André Gernez, à savoir ses traitements du cancer, de la myopathie entre autres.
Les placards de la science sont plein de chercheurs mis au rebut parce que leurs découvertes ne sont pas dans la ligne politique définie par le régime (sec). Va voir les placards de la science...
Cette idée de réchauffement climatique à cause du CO2, d’un point de vue physique, c’est issu d’une conception « mécaniste » des choses, un sophisme scientifique, en phase avec un agenda politique, pour lequel on t’a déjà bien préparé l’esprit depuis les années 1970 avec le club de Rome.
Donc pour moi, pas de réflexion « au petit bonheur la chance » car ceux qui ont les cartes en main ont montré une faculté de tricher sans limite pour arriver exclusivement à leurs fins. Depuis quelques années, dire oui revient forcément à se faire flinguer.
Même quand tu dis non, tu vas me dire...
La politique doit se faire sur des vérités et non pas sur des approximations, sinon, cela aboutit toujours à une tragédie. Il faut exiger la vérité, même si cela dérange.