Commentaire de Colette Le Peutrec
sur Le chemin de l'inculture
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un des « réactifs » à cet article a dit « pleurnichard » j’irai plus loin ...vous souffrez sincèrement de la perte d’un culte plus que d’une culture. Le culte du beau, de l’émotion fine, raffinée même, d’un savoir vivre l’esthétique et les valeurs qui n’existent plus que là où ça sent la cire pour les planchers en chêne et le vieux thé.
La culture est vivante et vit avec les vivants. Vous ne voyez que ce qui se perd et vous ne voyez pas ce qui se crée. Ce qui se crée vaut autant que ce qui se perd.
Et il faut faire avec la démographie galopante. La préoccupation majeure n’est plus à savourer les belles lettres et le coup de pinceau génial.
Il y a la notion de partage à inclure, tant pis si tous n’accède pas à un recul suffisant pour ne pas se savoir manipuler, tant pis si la culture, à bien des égards, se nivelle par le bas.
Mes filles en sauront toujours plus que ma mère.
Derniers commentaires
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13/03 20:46 - ffi
Pour prolonger le Sudiste Il ne faut pas oublier que Mr Lang a fait entrer par la loi la (...)
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06/03 09:20 - anty
La culture sert que si on l’utilise Sinon elle se perd au file du temps dans des (...)
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06/03 08:19 - Colette Le Peutrec
@ Arunah j’imagine assez facilement que dans l’avenir (incertain c’est vrai) (...)
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06/03 04:28 - dom
hmm... Mycroft l’art ne sert pas à divertir, mais alors juste... pas du tout. (...)
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06/03 04:18 - Arunah
@ l’auteur Le faible taux de réactions à l’article confirme ce que écrivez. La (...)
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06/03 02:29 - dom
Un très beau texte auteur, merci, très salutaire au contraire. je n’y lis pas une (...)
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