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Commentaire de poetiste

sur Les élections de la Misère


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poetiste poetiste 18 mars 2010 13:55

Réponse à « x ».

La répression régression a la vie dure, elle s’acharne, elle persiste et signe. Aucune correction de trajectoire, l’argument électoral sécuritaire revient comme un boomerang à la face de ceux qui l’utilisent et on insiste. On ne change pas une méthode qui fait perdre.
Mais où est donc la notice, dit une chanteuse de talent. Où est donc la notice pour la prévention, la prévention, un art beaucoup plus subtil, beaucoup plus courageux et moins simpliste que la répression.
Un gus me « moinsse » sur mon écrit précédent, il a dû se reconnaître, être démasqué et en être atteint. Il pourrait se présenter.
Quand on perd la responsabilité qui donne autorité, on n’a plus d’autorité, est-ce si difficile à comprendre ? La « force tranquille », la pub en a fait un slogan, rien de plus.
Et pourtant, si des politiques pouvaient s’approprier une promotion de la paix, de la force et de la responsabilité, la violence n’aurait plus lieu d’être.
On respecte l’autorité quand elle est respectable, pas quand elle veut tirer profit de dysfonctionnements liés à un non partage des biens et à la peur qui s’ensuit.
La police n’est pas responsable de ce qu’on lui demande et il y a des demandes de remise en question au sein de ses membres, ça c’est réjouissant ! Les policiers veulent être respectés, ce qui est la moindre des choses mais qu’on ne leur demande pas de « faire du chiffre », qu’on les engage sur un terrain plus humain, qu’on leur donne des moyens aussi.
L’escalade a assez duré. Le prochain parti qui fait campagne sur la sécurité pour gagner des voix, il se coupe à jamais de mon vote.
A.C


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