Le socialisme, d’après non66, n’est plus à même de gérer le pays dans un esprit et avec des principes socialistes. C’est ben vrai, comme aurait dit la mère Denis. Et c’est bien de faire prendre conscience de ça aux socialistes. Ils ont commis des erreurs par le passé ; ils ont donné le feu vert aux gros pleins de sous, usuriers, prévaricateurs, spéculateurs, en fonçant sans condition dans le libéralisme économique. Ils n’ont rien proposé d’autre, ils se sont couchés ou se sont livrés à des querelles intestines et ça ne sent pas bon de ce côté là. Les voilà obligés de donner des garanties aux financeurs, politique de droite par excellence. Tout s’égalise par le fric ; il lamine tout et les consciences avec. Alors un DSK avec le label socialiste, ça fera l’affaire, les gros pleins de sous ne paniqueront pas trop. Entre deux maux, il faut choisir le moindre, dit-on. Blanc bonnet et bonnet blanc : situation à choix très limité chez les esclaves salariés votants, ce qui prouve que les idées de droite ont empoisonné tout le monde. Les défenseurs des gros pleins de sous ont plus d’un vote d’avance. Tout le monde a perdu : c’est le fric qui a gagné, la soumission au veau d’or. Cette pollution des âmes n’est bonne pour personne. Ah ! Quelle époque, mère Denis !
Si voter est l’art de choisir à quelle sauce on sera mangés, voilà que la cuisine se complique.Le malheur, c’est qu’elle n’est pas bio du tout et pas de grands cuisiniers à l’horizon. Pourquoi discuter d’un vote qui ne peut être que représentatif, c’est à dire que l’on donne un chèque en blanc à un gus qui décidera du plat et de la recette pour nous accommoder. Si vous n’avez pas accès à la cuisine, si on ne vous propose pas une participation active, à quoi bon en parler. Et ce n’est pas DSK qui parle de participation autour du gâteau, c’est Ségolène. Bon , c’est une femme, il est vrai, un sacré handicap chez les beaufs machistes à gauche comme à droite. La femme est l’avenir de l’homme disait Aragon qui aurait pu ouvrir un resto quatre étoiles. Amis votants, le gâteau, c’est vous ! Si vous ne votez pas, il sera perdu, moisi. Si vous le donnez aux cochons, ce ne sera guère mieux, car il pourraient se retourner contre vous. Moralité : devenez cuisiniers. Emmerdez les politiques tous les jours ! Dites leur que la cuisine manque de sel. Car quand les élections arrivent, c’est trop tard, vous êtes déjà dans la sauce.
Je crois que je ferais confiance
à la vaccination si j’avais confiance dans l’honnêteté des laboratoires
pharmaceutiques, affaires trop juteuses pour être honnêtes.
Majeur mais pas vacciné, je me
porte comme un charme. Roselyne Bachelot a annoncé publiquement, à la télé
qu’elle était : « vierge de toute vaccination ». Elle est fille
de médecin, c’est dire la confiance que ce dernier accordait aux vaccinations.
Et voilà qu’elle se fait vacciner
pour la première fois pour vendre la camelote du Hh1N1 selon un principe de
précaution bien vu par les labos pour fourguer leurs produits, avec la
connivence des politiques.
Le système immunitaire, il ne
faut pas le déranger avec des vaccinations contre des risques improbables, il y
a assez de pollutions de toutes sortes pour lesquelles il est sollicité :
exemple les allergies. Il paraît que les enfants qui naissent dans les endroits
aseptisés, qui n’ont pas reçu les signes d’agents allergènes durant la période
dite de tolérance immunitaire post natale, sont fragiles et contractent des
allergies par la suite.
On prive donc le système
immunitaire de ses fonctions en un principe de précaution qui va à l’inverse du
but recherché.
Et que dire du vaccin contre
l’hépatite b, méthode génétique sophistiquée qui peut enclencher la sclérose en
plaques, donc, affoler le système immunitaire pour l’orienter vers une maladie
auto-immune ?
L’immunité a encore beaucoup de
raisons que la raison des scientifiques ignore mais ça n’empêche pas les labos
de mettre les produits sur le marché : business is business.
Et on dira que c’est pour le bien
commun. Pas vacciné, je serais dangereux pour les autres. Observez bien le
raisonnement : les autres, vaccinés, sont censés être à l’abri d’une
contamination. Et moi, qui ne suis pas contaminé, je serais censé porter le
germe parce que je ne suis pas vacciné alors que ce germe n’a pas eu de prise
sur moi.
L’argument officiel dit qu’à
partir d’un taux de couverture vaccinale l’épidémie peut être enrayée. Très
drôle la vaccination h1n1. Pas pour moi les effets secondaires !
Quand on veut placer sa camelote
pour faire du profit, on n’est pas à un argument absurde près. Et ça
marche ! La croyance vaccinale court plus vite que le vaccin. Elle devient
religion.
Donc, Roselyne Bachelot a un
vaccin d’avance sur moi, on a excité ses leucocytes de manière anti-naturelle
et ils sont allés se battre et se faire pousser des antennes pour rien.
Imaginons une armée que l’on
solliciterait toujours pour rien, elle finirait par ne plus répondre, épuisée,
et un jour, se ferait envahir.
La nature reste plus compliquée
que la science des hommes et le restera longtemps mais ce qui complique le plus
les choses pour l’homme, c’estl’appât
du gain, le profit pour le profit, l’usure de la spéculation. Nous vivons dans
un bouillon de culture marchande contre lequel nous n’avons encore pas trouvé
de vaccin et ce n’est pas demain la veille qu’on en sortira un, cette pandémie
est déjà là, catastrophique.
Les vieux sont une espèce en voie
de disparition, c’est une évidence, mais au fur et à mesure qu’ils
disparaissent, de plus jeunes viennent les remplacer, vieux à leur tour.
Il y a des évidences comme ça
qu’il ne vaut mieux pas occulter.
Et puis, la prochaine « der
des der » qui s’annonce sans crier gare dans les consciences, elles vous
éradiquera de la surface de la terre des milliers de jeunes coquins, (comme
aurait pu dire Voltaire).
Je suis vieux et j’ai décidé de
mourir jeune le plus tard possible, alors, poussez pas trop derrière, les
immortels ! On est éternel quand on a vingt ans mais on l’est de moins en
moins.
Mourir est un manque de
savoir-vivre comme disait Pierre Dac, alors, les vieux, laissez-les vivre. (Je
prêche pour ma paroisse).
Je coûte cher avec ma mini
retraite mais je vous ai coûté encore plus cher, quand dans les années 60, je
vous concoctais des machines à commande numériques qui allaient remplacer votre
travail et permettre des délocalisations de cet outil de travail.
Maintenant, dans un monde
d’esclaves salariés, la demande a dépassé l’offre et l’on a créé des anpe et
pôles emplois pour passer le temps, des stages pour occuper.
Le travail n’appartient plus au
travailleur, il est devenu une mendicité. L’employé fonctionne où on le pose et
vogue la galère pour entrer dans le rang, se bousculer dans le métro ou le RER.
Cherche à qui ce manque de
« participation » de l’employé profite ! Chacun dans son coin à
subir et se lamenter. Les syndicats sont restés dans le contexte des années
60 ; ils sont restés corporatistes et ne se sont pas immiscés dans la
gestion des entreprises pour contrer l’expropriation de leur outil de
travail.Pas vu le vent de la
mondialisation venir ?
Jeunes ouvriers et employés, si
vous voulez vraiment avoir une retraite, sortez de l’atomisation, de la
division que l’on vous a imposée pour mieux régner. Réinventez vos défenses, ne
regardez plus la télé ! Réinventez le monde !
C’est là le conseil d’un vieux né
avant guerre, un temps de « guère », je vous le dis.
Ne « m’euthanasiez »
pas de suite, j’ai encore des choses à vous dire et c’est peut-être là que je
peux me rendre utile, plus opérationnel pour l’avenir.
Il ne faut pas prendre la vie
d’aujourd’hui au sérieux, on n’en sortira pas vivant.
Dans ce monde sans partage, vos
retraites sont aux îles Caïman ou aux Bahamas, peut-être bien à Londres ou au
Luxembourg que sais-je ? Mais il y a de quoi les payer si on se met tous
ensemble pour obliger les nantis à partager, dans un esprit de générosité et de
justice.
Imaginons que des valeurs
humaines puissent venir se substituer aux valeurs boursières qui sévissent
aujourd’hui, quel pied ce serait pour votre avenir !
Le mien, il est largement
derrière et je vous passe le relais, avec une recette : oser l’utopie, y
croire, on ne change pas les choses sans ça.
Il existe des solutions
alternatives pour un retour à l’évidence : être sur terre pour bien vivre.
Un gus qui était né il y a deux mille ans, qui dérangeait déjà le monde
marchand, aimait à dire : va ! Ta foi t’a sauvé ! Elle n’est pas
si mauvaise que ça la légende fondatrice de notre civilisation.
Et si la France arrêtait de se la
jouer consommatrice, électoraliste, on ne la verrait peut être pas s’enfoncer
dans un régime bonapartiste qui crée des lois de plus en plus liberticides
comme la loi loppsi 2, votée discrètement ces jours derniers.
Si jeunesse savait, si vieillesse
pouvait, dit-on. Mais alors : les deux ensemble, ya peut-être moyen ?
Je voulais vous dire que les
vieux sont utiles, qu’il ne faut pas les abattre avant de les avoir entendus et
je ne vous ai pas tout dit.
La pauvreté et la misère sont devenues illégales depuis la loi loppsi 2, puisqu’elle stipule de détruire toute habitation précaire sans passer par un jugement, directement sur ordre du préfet. Avec obligation de délation du maire de la localité sous peine d’amende. Voilà ce qui se passe quand on est occupé à discuter ou à regarder la télé : il se crée des lois en catimini. Loi géniale : pour éradiquer la pauvreté, on propose d’éradiquer les pauvres. L’horreur est humaine, car à ce stade ce n’est plus une erreur, c’est une monstruosité. Toute solution alternative à l’habitat sera punie !! Suivez la pensée unique ou disparaissez !! J’ai travaillé 6 ans auprès des SDF, je vous affirme que j’ai passé le plus clair de mon temps à l’assistance de mourants. De plus en plus de pauvres et de plus en plus acculés à la mort et voilà qu’une loi liberticide vient en rajouter sans autre forme de procès. Il serait temps de voir le filet qui se resserre et ne pas se voiler la face. La misère entretenue fait partie du débat politique où chacun en rejette la responsabilité à l’autre. C’est un jeu politique électoral pour une joute électorale gauche droite. La véritable misère n’est elle pas dans l’inconscience des politiques complètement décalés par rapport à la pauvreté, incapables de partager ? Quelles indignations, quelles résistances vont se réveiller avant la catastrophe finale ? Car ne nous y trompons pas : un pays qui écrase la base de sa population est dans une dynamique dictatoriale, dans une voie de sous-développement. La fraternité disparaissant, l’inégalité surgit et pour maintenir cette inégalité profitable à quelques uns, que fait-on ? On resserre l’étau, le carcan sur la liberté, et en douce, de préférence. Il est temps de prendre le maquis.