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poetiste

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Retraité de 69 ans. Devenu à la retraite : écrivain : (un livre : Poéthique) et musicien : (guitare classique). Intérêt : philosophie.

Tableau de bord

  • Premier article le 26/04/2010
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Ses articles classés par : ordre chronologique




Derniers commentaires



  • poetiste poetiste 11 mai 2010 07:59

    Acharnés de leur raison.

    Les extrémistes islamiques sont des individus sinistres. Ils se sont mis dans la tête que l’occident voulait leur disparition alors que, grosso modo, nous voulons la disparition de la confusion entre religion et politique.
    La laïcité est la plus belle invention de l’homme. Elle renvoie l’individu à sa religion et la politique à l’individu qui n’affirme pas sa croyance mais sa volonté de vivre sur la terre en bonne intelligence avec toutes les croyances, qu’elles soient des particularismes religieux ou l’athéisme.
    On se demande pourquoi certains extrémistes veulent imposer leur point de vue étriqué pour en faire une religion universelle. De religion universelle, il n’y en a qu’une : le respect de la vie, le respect de l’homme et de la femme.
    Il faut respecter le droit de croire quand bien même la croyance nous semblerait farfelue, pur produit de l’imagination collective, mais les croyants formatés dans ces religions diverses doivent impérativement respecter les valeurs de la République qui ne sont pas des préceptes religieux mais des règles, un code de vie instituant liberté et neutralité.
    La volonté de s’imposer, propre à l’extrémiste islamique, d’imposer cette religion créée en 622 après Jésus Christ, semble être une volonté irréversible.
    On a envie de leur dire : « croyez ce que vous voulez mais foutez-nous la paix ». Nous sommes nés sur la même terre que la vôtre mais nous n’avons pas la même légende fondatrice de civilisation.
    Le Coran exprime une forte identification à la croyance mais aussi le respect de celui qui reçoit, d’une croyance différente. Les musulmans dits « modérés » ont bien assimilé ce précepte coranique.
    Il n’y aurait pas de clash de civilisations si ces extrémistes cessaient de penser que leur croyance doive supplanter toutes les autres.
    Drôle de conception de la foi que de se battre pour Jérusalem ! Si le Dieu des trois religions monothéistes méditerranéennes existe vraiment, il doit se marrer de voir ses « croyants » se détourner de lui pour des vestiges, des reliques, des sacralisations idolâtres de lieux ou d’objets. Feraient mieux de se battre pour la vie, ces excités !
    Quand les villes artificiellement « saintes » seront devenues des musées religieux, quand ces marquages de territoire seront terrains ouverts à tous, c’est que l’on aura compris que la foi ne consiste pas dans ces appropriations mais dans le respect de la vie.
    Nous en sommes encore, au troisième millénaire, à une partie de l’humanité qui regarde le doigt quand ce doigt montre la lune.
    Suggestion aux extrémistes religieux de tous poils : ne pourrait-on pas dire que ce « Dieu » que l’on imagine est tout simplement : « la Vie » ?
    Qui ne sait pas faire le bonheur des autres sur terre est mal barré pour entrer au paradis de l’au-delà qui ne peut être que le fruit de l’imagination. A croire que la terre n’est pas l’œuvre de leur « Dieu » et qu’elle ne mérite pas d’être le siège d’un paradis.
    Un enfant aimé de ses parents, qui repose toute sa confiance en eux, est-ce que ça n’a pas déjà un goût de paradis ?
    L’amour, ça n’appartiendrait pas à « Dieu », par hasard ? Ne serait-ce pas le vecteur le plus approprié pour nous le rendre crédible ? Il me semble que le fameux Moïse avait déjà énoncé ça sur ses « tables de la Loi », valables pour les trois religions. Tu aimeras ton prochain comme toi-même, tu ne tueras, point, e t c…
    En définitive, tout me porte à croire que les croyants acharnés sont les pires ennemis de la Vie. Ils n’ont pas remarqué, ces sinistres drôles que dans l’univers, cette vie était unique et irremplaçable. Paix sur terre aux hommes de bonne volonté.
    Ôte ta burqa expansionniste et parle à visage découvert et paisible, Free Palestine !
    A.C

     



  • poetiste poetiste 8 mai 2010 09:32

    @ Pierre Boisjoli

    Au premier degré, ton texte est paranoïaque.En ce cas je n’imagine pas la grosseur des chevilles : Éléphantesques !!!
    Au deuxième degré : c’est de l’humour marseillais.
    Au troisième degré, ton texte contient la vérité suivante que le monde ne peut changer si les individus ne se corrigent pas et ne font rien pour que ça change.
    On peut rêver pour ce qui est d’une libération de l’addiction au fric, désormais plus gagné par le jeu que par le travail, mais cette addiction est pour beaucoup une drogue dure.
    Il est plus facile de se guérir de l’éthylisme que de l’élitisme (de l’argent).
    Et l’éthylisme, chacun sait que c’est une question d’abstinence à vie pour s’en prémunir ; il n’y a pas vraiment de « guérison ».
    Mais de grâce,ne crée pas une nouvelle religion ! Les arracheurs de dents, les menteurs, les charlatans, les prophètes, comme disait Brassens, sont déjà assez nombreux.
    Et si on te prend pour le sauveur de l’humanité, tu vas déranger les banquiers et on va te clouer sur une croix. Attention ! L’histoire se répète !
    A.C



  • poetiste poetiste 7 mai 2010 17:51

    Nous approchons du point de non retour pour la raison suivante : Nous manquons non pas d’intellectuels mais d’hommes de bonne volonté.
    Le profit pour le profit, c’est l’adoration simpliste du veau d’or. C’est là le plus funeste des tropismes humains dans une guerre économique.
    Tout cela manque de poésie, alors voilà : L’effet papillon, l’erreur du commencement amplifiée de manière exponentielle qui provoque un cataclysme après un certain temps.

     

     

    Inconséquence.

     

    Dis-moi ton effet, papillon !

    Si la vie n’est pas religion

    Pour le colosse aux pieds d’argile

    Dont l’équilibre est si fragile.

     

    Dis-moi tous les faits, papillon

    Et ces méfaits qui sont légion

    Pour la planète, infertiles

    Quand l’homme la met en péril.

     

    Dis-moi ce que nous oublions

    Le grand manque de réflexion

    Régression des êtres débiles

    Dans les campagnes et dans les villes.

     

    Dis-moi le chaos, papillon

    Dans l’âme de ces trublions

    Qui élaborent sur une île

    La spéculation imbécile.

     

    A.C

     

     

     

     

     

     

     

     



  • poetiste poetiste 7 mai 2010 09:19

    Franck, je vais finir par te trouver sympathique, tu me rajeunis. Je lis ce que tu écris et sans parler de « bordel métaphysique », je dirais plutôt syncrétisme pour être gentil. Je ne vais pas relever les erreurs historiques ou les erreurs d’interprétation, ce serait trop long.
    Tu me rajeunis car c’est à peu près le genre de discours que j’avais à l’école primaire,avec les mêmes arguments fumeux qui trompent en premier celui qui les énonce.
    Tu as voulu casser mon article, alors, pourrais-tu me dire ce que je t’ai vendu qui n’a pas voulu cuire ? Je rappelle que l’information sur forum est interactive et que c’est une chance par rapport à l’information unilatérale des radios, qu’il ne faut pas gâcher cette chance, qu’il convient d’avoir un minimum de cohérence, voire de savoir vivre.
    Il y a des choses intéressantes dans tes textes en salves mais tu veux tellement avoir raison que tu les étayes de jugements subjectifs qui ne vont pas dans le sens d’un enseignement rigoureux, c’est le moins que l’on puisse dire.
    Nous sommes messagers et lecteurs, alors, respectons-nous, soyons concis et clairs, les médias pilotés par les grands groupes de presse n’auront plus qu’à réviser leur copie.
    A.C



  • poetiste poetiste 5 mai 2010 10:43

    Ah ! Enfin, on dit ce que tout le monde sait depuis 30 ans : l’ANPE et Pôle emploi n’ont jamais servi qu’à se débarrasser du problème du manque d’emplois en délégant cette impuissance à ces deux organismes.
    Vous n’avez pas d’emploi, alors on en crée quelques uns qui vont vous faire patienter ad vitam eternam ,vous ballotter, vous promener, vous assister, vous faire faire des stages onéreux sans débouchés et même...Faire des stages de lutte contre le stress car il n’est pas facile de errer sans but, dans la désespérance continuelle.
    Voilà le négatif du négatif dont le parti socialiste est complice, en ne prenant en considération que le jeu électoral et les apparitions inopportunes et légères à la télé. Réponse : on ne crée pas de la richesse, on partage le non emploi. Méthode Martine Aubry.
    Ségolène a fait 60 pour cent dans sa circonscription. Elle s’est effacée pour faire du concret, a favorisé les scoops. Ah ! Mais sa langue a fourché une fois, elle a dit : « bravitude ». On voit où on en est à cette atteinte par un seul mot du travail positif. Les médias avaient quelque chose à dire de drôle pour se faire de l’indice d’écoute et ses adversaire de droite étaient aussi de la curée. 60 pour cent : il y a bien une raison !
    Le plein emploi est la calamité pour les spéculateurs et ceux qui partent avec le salaire et l’outil de travail. Eux, ils en trouvent du travail et au prix minimum.
    Les damnés de l’emploi ont à se rejoindre et forcer les politiques à prendre des mesures originales au delà de leur handicap de consommateurs.
    On veut ou on ne veut pas, à la base, provoquer un changement de cette absurdité ?
    That is the question !

     

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