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Bonjour philou017
Meri d’avoir pris le temps de l’analyse. Nous ne sommes pas en désaccord seulement nous avons un filtre différent, je vais essayer de m’en expliquer sur la base de tes observations judicieuses.
« Elles sont arbitraires si elles sont injustes ou injustifiées. Les bonnes règles sont acceptées naturellement par les gens, car elles leur correspondent. La contrainte vient souvent des mauvaises règles. »
L’homme ne se montre solidaire que de ce en quoi il consent. C’est l’apprentissage parental qui nous inculque quelles sont les bonnes ou mauvaises règles, nous sommes un être conditionnel, donc apte à faire notre une idée qui sera inscrite dans notre non conscient. De la sorte quand elle se présentera nous la jugerons bonne. Cela a bien sur une limite que fixe l’évolution de notre environnement et le remplacement des humains par d’autres et l’impossibilité matérielle physiologique de faire partager à nos progénitures la totalité de nos acquis, car ils ne constituent pas une vérité mais une règles bonnes dans une situation et mauvaise dans une autre. Ce que l’on impose à l’autre avec ou contre son consentement est toujours une règle arbitraire, puisqu’elle n’émane pas de l’individu qui né. La démocratie en est un exemple une majorité juge des règles bonnes et vice versa.
« La coopération est bien plus positive que l’affrontement pour subvenir à ses besoins. L’agressivité n’est nullement nécessaire, comme le montrent certaines sociétés polynésiennes, ou les enfants sont élevés par la communauté. »
Cela se vérifie dans des micro société ou le sens inné du « partage » (ou plutôt celui d’un partage injuste) l’emporte si l’environnement permet de produire l’abondance ou dans la situation d’une intégration communautaire forte. Souvent l’intégration forte permet le contrôle de l’agressivité, surtout dans les petits groupes dés qu’ils dépassent un certain nombre et une concentration trop importante alors naissent les problèmes, et l’agressivité atavique ressurgit. (L’agressivité n’est pas la violence, même si parfois elle donne naissance a des actes violent nous avons dans l’époque actuelle qui construit son pouvoir politique la dessus du mal a faire des distinction qui s’impose, et je confirme que nous pouvons élever des enfants sans violence corporelle, mais nous serons obligés d’influencer leur psychisme or quand l’on parle de violences psychiques (morale), nous nous dirigeons vers quoi ? l’avantage d’un enseignement sans violence physique est se garantir que par mimétisme cela ne se propagera pas mais c’est plus compliqué, car naturellement un individu saura en faire usage dans sont intérêt)
L’immense majorité des animaux n’est pas agressive, sauf
pour des prédateurs, au moment où ils doivent se nourrir. Vous n’avez aucune
preuve que l’agressivité soit au centre de la personnalité humaine. C’est un
a-priori répandu que rien de sérieux ne justifie.
Concernant l’humain, la volonté est au cœur de son action, ce qui ne nécessite
pas d’agressivité si elle est bien maitrisée.
L’agressivité est un signe d’insatisfaction et d’impuissance.
Tous les animaux joutent, c’est pour cela que j’ai utilisé se terme et non se battent,
Pour cela il faut un dispositif d’agressivité, mais eux ce n’est pas pour s’entre tuer, dans la plupart des cas, même si nous savons qu’ils peuvent être violent jusqu’à se dévorer.
Généralement avant la mort il y a les signes de soumission du plus faible. Nous nous avons « perdu » ou transfiguré cet atavisme par notre capacité au suicide altruiste.
Tu as pris le terme au sens le plus répandu dans ces dernières années pour cause de délinquances, il est à prendre dans son acception de capacité d’agir, en tant que déterminant physiologique pour faire face à des situations où l’animal doit défendre son existence.
La peur est un des facteurs qui le font ressurgir, ou comme tu le dis, il devient dans nos sociétés un signe d’infériorité si l’on ne parvient plus à solutionner des difficultés par le verbe.
« La sociabilisation est naturelle chez l’être humain. C’est la compétition comme mode de fonctionnement, le communautarisme, ou l’appartenance bêtifiante à un groupe qui sont anormales ».
La sociabilisation est naturelle quand l’humain se reconnaît comme groupe, sinon il considère l’autre comme un étranger, et cela nous oblige à apprendre notre universalité humaine, nous trouvons ce message dans l’évangile chrétienne il y a donc longtemps que l’homme a compris cela. (la tribu Momboutou manger leur voisin Nian Nian qu’il considéraient comme du gibier).,
« Je pense que l’action des candidats n’a rien à voir avec le refoulement. Au contraire, ils viennent sur un plateau télé dans l’idée d’y briller, pas pour exprimer leurs refoulements. L’application de la « punition » tient bien plus au conformisme, aux injonctions, à la pression d’un plateau télé et à la peur de sortir du moule. »
L’action des candidats et leurs motivations est partie intégrante de l’expérience, la capacité d’infliger une souffrance est un acte d’agressivité qui peut être plus ou moins violent en fonction de l’outil culturel utilisé. Les scientifiques savent que leurs études sont influencées par les lieux et les matériels qu’ils utilisent y compris par les motivations qui les guident.
D’une étude l’on ne peut séparer les éléments qui la constituent, tous sont à analyser. Ainsi ce que tu soulèves sont également des éléments qui font ressurgir l’agressivité à divers degré, puisque certains ne vont pas jusqu’à la mort
« Pas pour moi, en tout cas. Il y a toute une
différence entre analyser un évenement dramatique et se complaire dans son
spectacle. La fascination morbide de certains vient plus de la réponse à des
pulsions non maîtrisées qu’à un véritable attrait.
Les gens sont morbides quand ils sont mal. Quand ils sont joyeux et bien dans
leur peau, ils s’intéressent à des choses positives. »
Ce que tu dis est juste, rapidement Freud l’a signifié en parlant de pulsion de vie et pulsion de mort, c’est donc entre ces deux champs que fluctuent nos représentations le roman à l’eau de rose et Frankenstein, ce en quoi l’environnement éducatif sera crucial, ce en quoi la télé en fait partie intégrante et est notre mirroir.
Si l’agressivité est naturelle sa transformation en violence se transmet
culturellement."
On est assez d’accord. Cela contredit ce que vous avez dit avant.
Pour notre espèce et d’autres c’est le cas, l’agressivité conduit à l’élaboration culturelle de productions d’armes destructrices dont nous nous transmettons par l’apprentissage culturel l’usage et la construction, comme nous ne naissons pas les poches pleines de sous, nous ne naissons pas une arme à la main. Cet pratique n’est donc pas une vérité absolue, et laisse penser que par l’évolution humaine, de l’agressivité d’être capable d’assurer sa survit, puisse en naître d’autres rapports de l’humain à lui même.
Merci pour cet échange. Cordialement.
20/03 13:47 - ddacoudre
bonjour fergus les francs tireurs sont utiles comme les effets pervers qui engendrent de (...)
20/03 13:42 - ddacoudre
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20/03 12:18 - ddacoudre
bonjour Jl bien sur, quand j’écrivais que d’autres avant Durkheim avaient éventé (...)
20/03 11:29 - Philou017
Ddacoudre : analyse intéressante, mais je ne vous suis pas sur nombre de points : « Chacun est (...)
20/03 11:12 - ddacoudre
bonjour frédéric lyon si tu veux participer aux discutions des grands il faudrait que tu (...)
20/03 10:06 - JL
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