J’ai eu le même sentiment linus20024 : est ce cette Alice asagie partant vers un voyage sans aventure ou est ce ces allusions à l’oeuvre de Carrol manquant de conviction quand au sens (si j’ose dire) ? Je me rappelle m’être dit que la fin était « waldinisée » peut être n’était ce pas que la fin après tout.
Le chat m’a fait vibrer toutefois ainsi que le thé du chapelier fou et du lièvre de mars.
Allez hop consolons nous :
Il e’tait grilheure ; les slictueux toves
Gyraient sur l’alloinde et vriblaient :
Tout flivoreux allaient les borogoves ;
Les verchons fourgus bourniflaient.
« Prends garde au Jabberwock, mon fils !
A sa gueule qui mord, à ses griffes qui happent !
Gare l’oiseau Jubjube, et laisse
En paix le frumieux Bandersnatch ! »
Le jeune homme, ayant pris sa vorpaline épée,
Cherchait longtemps l’ennemi manziquais...
Puis, arrivé près de l’Arbre Tépé,
Pour réfléchir un instant s’arrêtait.
Or, comme il ruminait de suffêches pensées,
Le Jabberwock, l’oeil flamboyant,
Ruginiflant par le bois touffeté,
Arrivait en barigoulant.
Une, deux ! Une, deux ! D’outre en outre !
Le glaive vorpalin virevolte, flac-vlan !
Il terrasse le monstre, et, brandissant sa tête,
Il s’en retourne galomphant.
« Tu as donc tué le Jabberwock !
Dans mes bras, mon fils rayonnois !
O jour frabieux ! Callouh ! Callock ! »
Le vieux glouffait de joie.
Il e’tait grilheure ; les slictueux toves
Gyraient sur l’alloinde et vriblaient :
Tout flivoreux allaient les borogoves ;
Les verchons fourgus bourniflaient.