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Commentaire de DG.

sur Le sens de la crise grecque


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DG. DG. 10 avril 2010 13:03

"C’est aussi la necessite de proceder a un audit citoyen des dettes publiques, d’en mesurer la légitimité ou l’illégitimité(qu’ont-elles financé ?).« 

c’est facile ; la dette publique n’a rien financé, c’est une perte sèche pour le contribuable qui n’en tire aucune contrepartie, en terme de service rendue. bien sur, pour le créancier, c’est une source de revenu.
On admire ici l’hypocrisie d’un système soit-disant libéral : des sociétés privées (et donc des actionnaires) sont financées par l’impot !! c’est en réalité un système corporatiste, ou l’Etat n’est pas neutre, mais parti intégrante et partial du monde financier. c’est pour cela que l’Etat a »sauvé" les banques. s’il ne l’aurait pas fait, il n’y aurait plus personne a qui emprunter, selon la logique du système ( implicitement cela veut dire que l’existence d’un Etat dépend de sa capacité a emprunter, ce qui est contraire a la définition juridique de l’Etat, et indépendamment de son organisation économique.)

en claire, l’Etat doit s’extraire de toute relation créancier-débiteur avec le monde financier, ses seules source de financement seront l’impot et la Banque nationale.


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