bonjour paul
indépendamment de a destruction de l’école du savoir pour celle de l’outil, tu entre dans des considérations de pratique qui si elles ont eu fait leur preuve, sans être devenu désuète sont parfois pas a même de répondre a une monté de violence à multi visages. le terme unique de violence est employé trop facilement, parce qu’il est véhiculé médiatiquement et instrumentalisé sur des faits auxquels il s’accorde. je ne pense pas que tous les jours des enseignants sont poignardés. qu’il y aides bagarres que les élèves s’affrontent à l’autorité n’est pas une nouveauté, que certains enfants soient en, et soient des difficultés non plus.
pourquoi nos enfants seraient le reflet différent de notre société dans laquelle nous les élevons.
si nous prenions le temps de nous poser cette question, alors nous trouverions certainement des réponses autre que de faire de nos écoles des camps retranchés.
de plus en plus pour des raisons commerciales les marchand s’adressent à nos enfants comme à des adultes, tout un ensemble d’émissions pour enfants et ados emportent leur mimétisme, ils sont pressés en permanence de consommer, nous les imprégnions de notre propre stress, par la suppression de la carte scolaire nous avons favorisé la ghettoisation de certains établissements.
alors il y a certes des actes qui se qualifient de violence, mais l’on a plus de chance de les trouver dans les lieux où un gamin de 12 ans gagne le salaire de la maison en faisant le gué pour les dealers que dans le faubourg st honnoré,et ensuite l’on veut que ce gamin est un quelconque respect.
j’ai pris cet exemple extrême qui est celui d’une violence nouvelle qui a émergé, et qui se cible facilement. mais ce n’est pas celle ci la plus nocive c’est celle qui nait d’une espèce d’exaspération ou d’absence de lisibilité qui s’exprime par une foule de comportements incivils ou irrespectueux, car notre société fait la démonstration tous les jours qu’elle ne respecte plus rien, alors pourquoi voudrions nous que cela n’atteigne pas nos enfants.
nous vivons dans une espèce de cocotte minute de laquelle plus une once de vapeur ne s’échappe, et de mettre de la police pour renforcer les paroies, ne fera que faire monter la pression. je ne pense pas avoir lu dans tous les écrits de la république sur les écoles qu’elles étaient un camp de concentration, il y a quelque chose qui doit nous échapper.
bon article
cordialement.