bonjour leypanou
en 1974 je discutais déjà du fait qu’en fonction de l’évolution des technologies et de la productivité nécessaire dans certaines branches professionnelles des salariés seraient trop vieux à 40 ans.
le débat est resté celui des état généraux de la sécurité sociale organisé par Chirac, alors premier ministre, permettre aux groupes d’assurances de s’approprier le marché de la santé et de la retraite.
aujourd’hui c’est toujours vers cela que l’on poussent les citoyens, toutes les politiques de relance de l’investisement et de l’emploi ont visé à réduire le montant des prélèvement et ainsi réduire les recettes de l’assurance santé et des retraites.
tous les impôts, toutes les charges, tous les prélèvements sont redistribués et se retrouvent à un moment ou un autres en transit dans une entreprise, et lui permet de réaliser du capital.
c’est incroyable qu’au 21 siècle cela ne soit toujours pas su.
le problème n’est pas l’âge et autre mais seulement l’assiette du cacul des cotisations qui n’est plus adapté à la financiarisation de l’économie de notre époque
les gouvernant et le patronat n’ont de cesse de parler d’adaptation à la modernité des technique et des travailleurs, mais c’est aussi vrai pour les assiettes de cotisations, il faut qu’elles suivent l’évolution, nous ne sommes plus sous le keyniésanisme.
le travail et le produit n’est plus la valeur de rentabilité capitaliste, et la prospérité de tous est un poids pour cette valeur si elle ne sert pas à spéculer.
cordialement.