bonjour calmos
non tu n’as pas tout compris.
Nous pouvons convenir que lorsqu’un particulier
prend l’initiative d’un investissement créatif, il est normal qu’il dispose des
revenus et profits de ce dont il est le propriétaire.
Mais lorsque son projet doit utiliser l’aide de
tiers, alors c’est lui qui est demandeur ; et c’est une évidence que de
comprendre que sans ces aides, il ne parviendrait pas à ses fins.
De fait une collaboration s’impose, et si le
propriétaire veut être le maître absolu de ses décisions, s’il veut disposer du
fait du prince, alors
il doit rester seul. Dans tous les autres cas il y a
une collaboration à imaginer pour que le propriétaire conserve les profits de son
investissement et atteigne ses buts, sans s’approprier ceux générés par les tiers. L’histoire de l’impuissance collective a conçu des
maîtres plutôt que des guides. Le reconnaître ne la rend pas
irréductible ; et si le code civil a analysé en 1804 la « marchandisation »
de la force de travail comme du « louage de service », donc du
marchandisage, je pense que depuis 1804, il est intervenu bien des événements
culturels (développement des sciences) qui nous permettent de concevoir notre
activité de travail complexes entre adultes culturalisés, comme une relation
humaine, et non un conflit d’intérêt.
Cela naturellement
nécessite une approche plus éducative de ce que j’ai appelé le « collectivisme
fractal », ou entreprendre avec les autres.
cordialement.