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Commentaire de gimo

sur FRALIB : Un modèle de résistance au capitalisme financier


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gimo 1er mai 2010 19:56

alterjournaliste

article intéressant merci  !!!!


John Kennedy avait comme ambition pour l’Etat qu’il conserve le pouvoir de création monetaire. La premiere loi signée par son successeur aprés son assassinat fut de re-privatiser.

La dette est donc eternelle et necessaire, elle ne sera donc jamais rembourcée.

Arrivera le jour ou toutes les dettes seront effacées car elles ne sont que des excuses pour que pénètre le capitalisme au sein des gouvernements corrompus

Au commencement du système économique, le créateur de la monnaie est le peuple. Dans le sens ou c’est lui en produisant et achetant qui définit et instaure une valeur aux biens et services.

Avec la naissance de l’État, la création monétaire fut confiée aux banques publiques. L’État avait trouvé le moyen de créer et de puiser autant d’argent que nécessaire à son développement.

 

L’idée de privatiser les premières banques fut lancée par nos amis des USA ( je ne dirai pas américains car il n’y a plus d’américain en Amérique !). La banque fédérale fut privatisée, les grands banquiers de l’époque ( Rockfeller et Rotschild, Mr – "Donnez moi le pouvoir de créer la monnaie et je n’aurai plus à m’inquieter de qui fait les lois"
 ) y etant surement pour quelque chose dans cette reforme qui peut paraitre anodine

mais qui, sur le long terme, est extremement bien pensée et rentre déjà dans une logique liberale inébranlable.

Les banques centrales suivirent en Europe, avec l’article 104 du traité de Maastricht, permettant ainsi à une societé privée à but lucratif de faire payer des interets à l’Etat.

Oui en 1992 les pays de l’UE se sont Auto-interdit de se developper librement,

ou plutôt se sont Auto-obligé de payer des interets !

 

Ainsi l’Etat rentre en totale dependance des banques puisqu’il n’a plus le controle de création monetaire et doit assurer plus de recettes que de depenses pour compenser la dette, chose qui au passage détruit la possibilité de conserver un service public stable et competent, forçant ainsi le peuple à demander les privatisations.

Et oui le liberalisme était prevu depuis les années 50,

La démocratie ne vaut plus rien. Si démocratie il avait  !!!!

ET PENDANT CE TEMPS LE CITOYEN DORMAIT !!!! triste constat !!


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