bonjour luc
merci pour ta réflexion, je vais te copier le commentaire que j’ai fais à vincent bénard qui répond partiellement à l’interrogation que tu formules.
notre « temps » et celui de l’évolution ne sont pas les mêmes.
bonjour vincent
cette idée de « l’état monarque » est fortement ancré dans l’esprit de
certains libéraux. il avait sa justification tant que l’état était
« dictatorial » qu’elle qu’en soit sa forme.
avec un état démocratique
qui représente la totalité de sa population, l’on ne peut plus jouer
l’intérêt de quelques particuliers, quelle que soit l’organisation
systémique en vigueur pour cela contre le reste de la population,
comme s’il étaient des salariés d’une entreprise qui s’appellerait
l’état.
cela ne remet pas en cause l’utilité de quelques modèles que ce soit,
mais ils doivent rester ce qu’il sont des outils économies et ne pas
devenir les maitres du pouvoir politique pour devenir de
nouveaux « monarques ».
nous sommes tristement toujours dans cette relation de maitre à
esclave, il est vraie que les évolutions des rapports humains ont des
difficultés pour évoluer dans la recomposition de leurs atavismes.
depuis la Grèce antique nous sommes passé de la condition humaine de
maitre et esclave, a celle de sujet d’un Monarque divin, pour arriver à
celle d’aujourd’hui du salariat et du « patronat »de puis 1804, ou
l’entrepreneuriat si l’on veux regrouper les deux partie.
ce n’est donc qu’une énième représentation.
dans cette représentation qui exige de se référer a des règles nous
avons opter pour celles du marché financiers. ainsi donc nous avons
toute une multitude d’articles comme le tient, qui ne sont bien sur pas
faux, mais qui sont d’une pensé Malthusienne.
l’adaptation est lente, c’est pour cela que théodore Monod disait l’homme évolue avec une lenteur désespérante.
cordialement.