Il peut y avoir, pour le moment, un taux de refus important par rapport au nombre de demandes déposées. Mais je ne sais pas s’il y a des statistiques sur ce point.
Par contre, ce qui doit expliquer le fait qu’il y a moins de 5% des salariés qui ont jusqu’à présent bénéficié du DIF, c’est surtout le faible taux de demande (inappétence, manque d’informations... ?) alors que bon nombre de salariés ont atteint leur maximum légal.