bonjour yang
sujet bien délicat et bien complexe. aujourd’hui l’enfant qui grandi ne voudrait plus ressentir les courbatures qui accompagnent l’allongement de sont corps. est-il possible d’élimer la « souffrance » qui nous indique que nous existons. ce n’est qu’une affaire seuil de tolérance et une distinction entre la capacité nécessaire d’agressivité pour exister et la violence structurelle sur laquelle elle peut déboucher que ce soit individuellement ou collectivement.
l’homme culturel qui éduque a sa culture impose obligatoirement sa contrainte, et elle ne peut être intellectuelle. un enfant ne comprend la notion de corps chaud qu’en percevant par ses sens les différentes températures au risque de se brûler. et là nous trouverons comme tu l’indiques tous les seuils celui du brutal du sadique et du rêveur.
cette société se chercher toujours l’économie d’une réflexion et d’un discernement, elle est toujours entrain de se chercher LA solution universelle. 40 000 ans aprés elle n’atoujourspas compris que c’est avant tout observer et comprendre.
cordialement