Citez-moi un seul concept philosophique de sa création...
Voltaire, c’est une sorte de mélange de BHL, pour son coté mondain, et le Dieudonné pour son coté insoumis.
Je doute que vous ayez lu Voltaire, vous aussi. Le lire m’est d’un ennui tel que je n’ai jamais pu terminer un de ces ouvrages. Il y a une abondance de notes en bas de page, qu’il faut lire, pour se remettre en contexte sinon l’on ne comprend rien. Cette abondance de références donne quasiment à ses écrit un tour ésotérique, pour initiés.
L’oeuvre de Voltaire est donc temporelle, à visée politique. Sa prose est aujourd’hui dépassée. Qui lit encore Voltaire autrement que comme « explication » de l’ambiance pré-révolutionnaire ?
Personne, hormis les élèves à l’école.
Voltaire n’’était rien d’autre qu’un agent d’influence Britannique visant à démoraliser l’esprit Français, par subversion.
Qu’en reste-t-il ? Quels concepts ? Quelles idées ? Quelles inventions ?
Rien, du néant.
Une France qui a perdu son âme, qui s’est couverte de béton, où le peuple est enfermé dans des cages à lapin, traité comme des sous-homme par des arrivistes hypocrites soit-disant plein de bonnes intentions, mais en fait qui vendent dans leur dos le pays en pièces détachées au plus offrant.