Dans notre rubrique « Le saviez vous » aujourd’hui La Corrida (bien faire rouler les « r » sans ça c’est pas la peine.
Extraits des règles de la corrida :
(bien que, vu la quantité de sang versé, le terme soit de fort
mauvais goût)...
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Si l’homme est vainqueur, en
l’occurrence le toréador, il a droit aux oreilles, à la queue et,
s’il insiste, aux corones et au bout de l’autre queue... c’est à
dire grosso modo à tout ce qui dépasse de l’animal... (les cornes,
elles, réduites en poussière serviront d’aphrodisiaque aux
japonais à petites bites (ce qui est un pléonasme) qui n’ont pas
les moyens de se payer de la corne de rhinocéros !).
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Si l’animal gagne... on me dit que
c’est arrivé 2 ou 3 fois depuis la libération (on ne rigole
pas)... il peut, s’il le désire, en utilisant son « épée »
naturelle, sodomiser, tout à loisir et à même l’arène, le
matador maté !
A ce jour aucun taureau vainqueur n’a
profité de ce privilège... hélas... ça nous aurait fait rire un
peu comme disait Brassens !
Au contraire, alors qu’il souhaitaient
simplement retourner au pré et savourer leurs victoires (1 chance
sur 40.000), ils ont été tués lâchement en coulisse sous prétexte
de « dangerosité »....
Conclusions : Le taureau, grand
seigneur, faisant grâce au rectum du matador maté, montre par là
même une noblesse naturelle très nettement supérieure à la
musique de Francis Lopez, et une ouverture d’esprit
dont l’ampleur est diamétralement opposée à l’étroitesse de l’oeil de bronze de ce
tueur emmanché du week-end ! (matador en espagnol).... que le cul lui pèle et qu’il y pousse un bananier !
Voilà !