Référez-vous au patrimoine français classé à l’UNESCO.
Y-a-t-il des merveilles culturelles en France qui ne soient pas ou du christianisme, ou de la monarchie ?
Qu’a donc produit la République, si ce n’est des horreurs en bétons (ou en ferraille) ?
C’est bien la croyance en une chose transcendante qui donne l’inspiration ; cette absence mène à un utilitarisme qui ne produit que du vulgaire.
Ma foi, en 1500 ans de chrétienté ont été commis moins de crime qu’en 150 années de République. La République est jeune, comparons donc les régimes en ayant égard à leur durée.
L’universel, c’est par définition avoir un but commun (tous unis vers). Et puisque nous sommes chacun divers, ce but commun ne peut être de ce monde, il ne peut être que surnaturel : c’est Dieu (catholicos ekklesia = église universelle en grec).
Si vous proposez une philosophie du diversel, sachez que la divergence est à la convergence ce que la diversité est à
l’universalité, avec le mouvement en plus, tendre vers l’universel,
c’est donc converger, tandis que tendre vers la diversité, c’est en fait
diverger. Vous semblez avoir quelques difficultés à entrevoir
cette nuance toute dynamique.
Faudrait-il vous soumettre à quelque musique dissonante pendant
plusieurs heures durant pour vous faire saisir la beauté de l’harmonie ?
Autrement dit, en principe, l’universalité est à la diversité ce que le
convergence est à la divergence, d’un point de vue dynamique, ce que la
concorde est à la discorde, du point de vue de l’état social, ou encore
ce que l’unification est à la division, pour la société.
Qui plaide pour la diversité ? Ceux qui veulent continuer de régner (les oligarchies bourgeoises).
Sinon, si pour vous le fin du fin, en matière d’humanité, c’est de tuer les foetus et les très vieux, c’est-à-dire les plus faibles, ceux qui par définition ne peuvent pas se défendre, bien, sachez que nous n’avons pas la même conception de l’humanité.
De plus, puisqu’un homme ne choisit pas de naître, il ne peut pas choisir de mourir.