Il n’empeche que la generosité a des limites !

D’abord, il y a un cadre reglant l’acces de notre territoire aux etrangers,. Les « refugies » en provenance de zones de guerre ou politiques instables et dictatoriale ne sont pas clandestins. l« AME ne les concerne pas.

Ceux qui sont vraiment clandestins, ont echappés a tous les controles et bafouent des regles qu’ils ignorent, mais qui sont les notres.
La plupart du temps, ces regles inconnues sont bien maitrisées lorsqu’il s’agit de reclamer un quelconque »droit« , mais passons...

Il n’est pas question de laisser crever quelqu’un devant la porte de l’hopital, bien que je remarque que lorsqu’un »pauvre« , sans papier ou pas, creve devant la porte d’une clinique c’est le Samu qui l’emmene a l’hopital public, parceque la porte de la clinique reste fermée.

humainement parlant, c’est bien difficile mais »l’etat providence« n’est pas un espece de magma financé par les petits hommes verts. c’est seulement un mecanisme redistributif et solidaire destiné a ceux qui ont participé. Les excedents servent a la generosité, mais lorsqu’il n’y a plus d’excedents et lorsque qu’il y a abus, il faut bien prendre des mesures de sauvegarde car les marges de manoeuvre sont etroites.

A ce rythme, quand toute la santé sera privée, parce que l’AME aura pompé tout l’argent de la secu avec le concours des reductions de charges de notre gouvernement de guignols, il n’y aura plus personne pour s’emouvoir de ce clandestin crevant devant la porte de la clinique privée : il n’avait pas de carte bleue, ce clandestin là !!!

En clair donc, soignons celui qui se presente et remettons-le immediatement dans l’avion pour un retour rapide dans son pays apres prise d’empreinte etc.. car nous sommes en train de creer des »sous-citoyens« dont le statut est »sans papier" et qui ont des droits superieurs a ceux qu’ils auraient dans leur pays d’origine.. en continuant comme cela, demain la France c’est toute la planete, genereusement entretenue par une petite cinquantaine de millions de couillons.

Attaquons la semaine du bon pied