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Commentaire de Krokodilo

sur Usage professionnel de l'espéranto à Paris


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Krokodilo Krokodilo 9 novembre 2010 20:58

« Le point de référence des langues secondes est toujours l’élément culturel des natifs de la dite langue. »
Mais ces locuteurs natifs ont une langue d’une grande variabilité, et particulièrement l’anglais du fait de sa dialectisation, conduisant à des incompréhensions marquées entre Anglais et Américains, ou Australiens ; aussi bien sur les mots que les expressions et la syntaxe, de même qu’il fautn unhj temps d’adpatation pour les Français au Québec. Je ne suis pas assez calé pour donner des exemples mais c’est de notoriété publique. Et pire encore avec l’anglais d’Inde ou d’autres pays où c’est une langue officielle. Il faut aussi rajouter la question des accents régionaux, j’ai déjà entendu un Irlandais à vitesse normale, je n’ai rien compris.

« En fait ceux qui peuvent discuter entre eux de manière poussée en espéranto, sont des petits cercles restreints qui discutent souvent entre eux, qui ont tacitement conduits de nouvelles règles. Mes ces règles ne sont pas forcement communes ente chaque petit groupe. »
Comme toute langue seconde ou troisième, on est presque toujours meilleur à l’écrit qu’à l’oral, et en compréhension qu’en expression. Effectivement, le nombre d’espérantistes capables d’être « fluent » à l’oral doit être faible, je n’y vois pas un défaut mais quelque chose de normal au stade actuel.
Et bon nombre des touristes que j’ai vus s’exprimer en anglais langue seconde sont loin, très loin d’être « fluent english ».


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