bonjour testarosa
je ne suis pas allé jusqu’au bout de ton article non parce qu’il est inintéressant, mais parce que tu y défends un libéralisme fondamentaliste que je connais de puis des lustres(enfin pas tout a fait je ne suis pas né en même temps que ricardo). c’est le crédo des « libertariens ».
tu as bien évidement raison en disant que notre libéralisme n’est qu’un mythe, c’est pour cela que je le qualifie de libéralisme « capitalistique », pour le distinguer du libéralisme fondamentaliste, qui s’il est séduisant dans sa dialectique il n’est que la poursuite de la domination de ceux qui possèdent les moyens de production, car ce ne sont pas les sujets de sa majesté qui ont réclamé l’émancipation économique mais bien les possédants de notre développent industriel qui se faisait jour .
il rentre donc en confrontation avec la servitude des masses, et dans ce cadre une référence à l’or, non contant de freiner la circulation de monnaie (puisque limité par sa propre quantité et n’ayant pas plus de valeur réelle qu’un coquillage des Samoas), ne pourrait pas faire face à l’explosion de population qui se produit.
or les populations ont acquis le droit de citer par leur pouvoir politique, et donc acquissent le droit de battre monnaie, ce qui leur a été retiré depuis 1973 et fait surgir les problèmes d’endettements.
la science économique est une affabulation tous comme le mythe libéral, derrière ce qu’il est important de rechercher c’est quelles formes de relations humaines ils représentent.
ceci n’empêche pas d’avoir des critères d’appréciations des conséquences de nos relations et production comme tu le soulignes en rappelant la formation d’un prix, mais si c’est une pratique admise ce n’est pas une vérité. le besoin d’avoir des mesures de comparaisons ne doivent pas devenir une tyrannie.
c’est en cela que la vie socio-politique interfère dans la détermination de ce libéralisme « capitalistique » et nous écarte du tien, dont j’ignore si un joue il pourra même exister autrement que par des hersats.
cordialement.