Ah oui ?
Cette mouvance scientifique (thunderbolts.info, electric-cosmos.org, ...) est en effet intéressante. Elle ouvre de nouvelles pistes de compréhension. Le forum de thunderbolts.info est une mine d’informations... Evidemment, ce nouveau paradigme n’a pas la sophistication et la prétention des théories actuelles, du fait de sa jeunesse, et c’est bien l’intérêt, car ça permet l’imagination.
Pour l’Anisotropie ? En fait comme il y a un rapprochement possible avec la vitesse de gravitation Keplerienne au niveau de la surface Terrestre, cela pourrait être l’indice d’une circulation du fluide luminifère. Il y aurait deux propriétés de l’espace à prendre en compte : A la fois ses mouvements mécaniques et aussi les phénomènes électriques en son sein (Ex : sur la photo de mon pseudo, il y a les deux queues cométaires, l’une courbe, faite de poussière, l’autre rectiligne, dénommée queue ionique). Si les mouvements mécaniques ont l’air stables, les phénomènes électriques semblent plus erratiques (du moins, pour ce que l’on en sait).
Pour une raison incompréhensible, la cosmologie contemporaine a trop négligé de s’intéresser à l’électricité dans l’espace, par dogme « la nature a horreur de la non neutralité électrique ». Ceci, alors qu’il est démontré que 90% de la matière visible est dans l’état de plasma et que l’astronomie utilise des radio-télescopes tous les jours... Ca ne la gêne pas de constater que la ionosphère est à un potentiel de 300 000 Volts par rapport à la croûte terrestre, et un même temps d’affirmer, que l’électricité ne joue aucun rôle, que les éclairs ne sont dû qu’aux frottements dû au remontées d’air chaud, alors que les farfadets et autres phénomènes électriques de la (très) haute atmosphère sont bien documentés maintenant.
Bref, étant donné ces phénomènes, si l’on adopte un point de vue de synthèse, il faut bien croire que la Terre fait effectivement partie d’un « circuit électrique » en relation avec l’espace. Elle n’est pas un cas isolé puisque l’on constate les Aurores boréales sur Jupiter et Saturne. De plus, le vent solaire le démontre aussi : un flux de particules chargées en mouvement, n’est-ce pas un courant électrique ?
La division par zéro ? le √(1-v²/c²) au dénominateur en relativité restreinte, ça fait un peu tâche. Ca ne marche pas pour le photon (Pour le photon, le temps ne passe pas ou le temps passe ?).
Je t’écris plus tard a+