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Commentaire de ddacoudre

sur 2012 l'année du choix de la dictature


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ddacoudre ddacoudre 22 décembre 2010 15:35

bonjour vinvin
j’ai bien aimé ton commentaire, généralement je n’écrit pas pour faire changer d’opinion ceux qui me lisent, mais seulement pour apporter mon point de vu qui n’est pas plus impartial que le tien.
tu dis t’être fait agressé, un parmi les milliers qui ton précédé et les milliers qui te suivrons, c’est un tonneau de danaïde. je connais les ghettos et si ce que j’y ai vu me laissais indifférent je me serais posé des questions car parfois il y en a que l’on pendrait sur le champs, mais nous ne sommes plus au moyen âge, même si les victimes y reviendraient bien.
le seul moyen d’éviter cela est de disposer d’assez de ressources pour allez vivre à Neully sur seine.
tu comprend dés lors que disposer d’argent et un élément essentiel.
or ils y a 1milliards de gens riches dont certains son dans l’opulence, et 6 milliards qui vivent comme il le peuvent.
alors si Marine le Pen peut assurer qu’elle arrivera a maintenir ces six milliards qui vont devenir dans 20 ou 30 ans 8 ou 9, vote pour elle. mais essaie de comprendre que tu ne pourras jamais vivre dans un zoo grillagé et que même si tu transformes ce miliard d’individus en policiers, ils ne pôurrons contenir les 6 milliards d’autres.
les raisons qui fesaient qu’ils restaient chez eux sont sociologiquement complexes.
pour rester riche nous avons vendu notre mirage, et il est naturelle qu’il plaise, d’autant plus que le notreest à la portede l’afrique.
alors que faire l’on s’enferme dans un zoo, l’on balance une bombe atomique, ou l’on change d’espérence.
la liberté n’existe pas c’est un mythe fondateur, qui permet à tout individu de dire ce à quoi il ne veut pas se soumettre.
la démocratie idem, elle permet de choisir son tyran.

tu vois que l’on se rejoindsauf sur le choixdu tyran, le tent compte tenu des technologie disponible représente un trop grand risque.

le caractère culturellement transmissible de la délinquance.

 

Qu’est ce que signifie « culturellement transmissible ?

 

C’est le constat que dans la Nature il n’y a pas de notions de délinquance et encore moins de crime. Un animal qui va essayer d’avoir un morceau de la proie que son congénère a chassé, par exemple, n’est en rien un voleur, il essaye simplement de se nourrir dans les conditions du moindre effort (coût/avantage), plutôt que de se chercher une proie et l’abattre ; Mais surtout, il ne tuera pas son congénère pour l’obtenir.

L’humain, en accédant à la conscience, a défini petit à petit qu’un individu n’avait pas le droit d’aller prendre une part de la chasse d’autrui sans son autorisation, sans sa volonté de partager. Et il a convié l’autre à faire l’effort d’aller chasser.

Sauf que ceci exige qu’il y ait une quantité de nourriture disponible pour chaque chasseur. Or, dans notre organisation socio-économique, la « proie » est devenue la monnaie, et quand elle peut être abondante, nous la raréfions pour qu’elle soit désirée. Partant de là, les chasseurs se livrent à une concurrence, et ceux qui ne sont pas assez vaillants ou adroits, peu enclins à l’effort, attardés, malades, handicapés ou d’un tempérament génétique moins adapté à la compétition, seront écartés.

Ce n’est pas pour autant qu’ils n’auront pas faim, et de ce fait, leur instinct de préservation les poussera à rechercher des moyens pour s’approprier la « proie » d’autrui. Mais dans le même temps les autres chercherons des mesures pour les en dissuader.

Partant de là, chacun élèvera sa famille dans des conditions différentes plus ou moins difficiles qui se répercuteront sur leur progéniture. Quelques milliers d’années plus tard, pour réguler tout cela, l’humain a défini une notion de bien et de mal qui condamnait les actes de celui qui volait par exemple, mais aussi invitait l’autre à partager. Ceci sans résultat. De telle manière que ceux qui possédaient des « proies » ont établi une liste de délits et de crimes, ont construit des prisons pour ceux qui enviaient les proies dont ils estimaient être les propriétaires. Les mêmes prisons également pour ceux qui, conscients de ces inégalités, prônent des solutions de modification de ce scénario pour que l’on puisse nourrir ceux qui sont écartés par la concurrence ou en organisant pour eux des actions de solidarité sociales pour les nourrir et leur apprendre à chasser « des proies ». Et nous sommes dans ce schéma réducteur depuis des millénaires. ddacoudre.over-blog.com.

cordialement.


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