bonjour alexandra
difficile, tant l’enthousiasme soulevé par cette fronde ou insurextion, (mais certainement pas révolution car ils ne changeront pas de régime) est fort, de soutenir une analyse un peu plus réaliste.
si ton article rappelle l’historique des événements et anticipe une éventuelle pandémie aux allant tour, les états ne vont certainement pas rester attentiste, en cela le futur le dira, au plus prés cela risque de motiver les algériens. il y a deux points que je conteste dans les analyses officielles journalistiques, c’est que le chômage soit dû à la corruption, l’on nous balance toujours cela infiné, comme analyse économique de la source du chômage dans les pays africains. certes la corruption n’arrange rien, mais elle n’est qu’une conséquence de l’organisation économique et non la source.
le deuxiéme point est que ce président n’est pas un dictateur comme tu le rappelles il sait fait élire
le fait qu’il se soit comporté comme un autocrate en utilisant les moyens de sa constitution, n’en fait pas un dictateur. il a utilisé que je sache l’état de droit.
je dis cela pour que l’on se souvienne que l’état de droit n’est pas un garant de quelques manières que ce soit de la démocratie, cette démocratie tunisienne était devenue une société policiarisé, comme la notre alors je comprend qu’il soit gênant de faire la comparaison.
cordialement.