bonjour noop
c’est un sujet difficile, nous avons des tribunaux d’exceptions comme les prudhommes ou le tribunal de commerce, là nous avons à faire à des juges dont l’essentiel et de solutionner des conflits d’intérêts desquels il disposent de la connaissance par la pratique dans leur quotidien, et ils sont même pour les prudhomme organisé en sections pour plus de spécialité de leur branche professionnel.
nous savons que le savoir universel n’existe pas c’est pour cela que la magistrature est une école qui forme à une spécialité qui est le maniement du droit français, car avec le temps nous avons retiré au peuple le pouvoir de juger pour le soustraire au désirs de la vengeance.
dans le même temps c’est de son existence que nous en retirons les lois et les système punitifs par l’intermédiaire de leur représentant aux parlements,le peuple à donc indirectement un regard sur sa justice, en faire des acteurs directs, c’est courir le risque de réintroduire la vengeance.
en ces années où par le truchement d’un président du fait divers, et par des citoyens en quête d’absolue, nous savons deux choses, que l’absolue conduit au meurtre, et que la vengeance est le meurtre légalisé. c’est deux comportements son normal, la civilisation est de s’en protéger. la justice exercé par des professionnels donne quelques garanties, et n’est pas au dessus du peuple, car c’est lui qui l’installe. il appartient donc au peuple d’être éclairé, c’est ce que devrait faire la famille l’éducation, les partis, l’information.
ce n’est malheureusement pas ce que l’on constate.
Le besoin d’inquisition
s’est toujours manifesté dans toutes les sociétés, car il est sous-jacent du
fait social qui semble toujours découvrir avec horreur les délits et crimes
dont il est porteur dans l’unité de ses membres (les individus), et qui
surgissent plus facilement suivant le type d’organisation que l’on se choisit,
bien qu’il soit plus difficile à discerner dans les démocraties. Au moyen âge
l’on exposait les délinquants et les criminels au pilori, et l’on brûlait
sorcières et hérétiques. Aujourd’hui on les expose dans la presse populaire et
autre, et les bûchers sont des fagots de mots qui remplacent le juge et le
bourreau et font de l’opinion publique un « assassin » en liberté. Le plus
souvent cela se fait au nom de la liberté de la presse qui ne cache que la
jouissance du pouvoir qu’elle c’est octroyée grâce à l’angoisse et aux peurs
qui paralysent la capacité de réflexion des individus, entretenues par la
permanence d’une régression sociale qui se cherche des boucs émissaires.
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cordialement.