Coran, Bible, Évangiles ... tous de vieux documents dont les traductions suscitent encore des controverses.
Si déjà l’Église s’occupait des siennes, au lieu d’explorer celles du Coran 
Le travail d’exégèse de Jean Carmignac remet par exemple en partie question la traduction du Notre Père.
Rien que ça ! et c’est pas rien ...
Du « et ne nos inducas
in tentationem », traduit actuellement par « et
ne nous soumets pas à la tentation » il propose en faisant appel à l’ « analogie de la foi », et en s’appuyant sur l’épître de
Jacques (1, 13) : « Que nul ne dise, s’il est tenté, ‘c’est
Dieu qui me tente’. » :
« et fais que nous
n’entrions pas dans la tentation », ou peut-être mieux, « et garde-nous d’entrer
dans la tentation ».
Association des Amis
de l’Abbé Jean Carmignac
Ainsi, en
cette vingtième année de la mort de l’abbé Carmignac, en cette quarantième
année de l’apparition de cette traduction, (Pâques 1966-2006, symbolisme des 40
ans du désert) nous avons la sainte espérance que la traduction actuelle sera
redressée. C’est en tout cas l’objet de la supplique que l’Association des Amis
de l’Abbé Jean Carmignac a adressée à la totalité des évêques de France en
décembre 2005.
http://maranatha.mmic.net/Carmignac.htm