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Commentaire de ddacoudre

sur L'impasse nationaliste


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ddacoudre ddacoudre 10 mars 2011 19:45

bonjour j Grau

ton article n’est pas inintéressant, mais trop sélectif d’une explication restrictive.
je reconnais que le sujet est trop vaste pour le cerner dans un article.
nous avons pris l’habitude de nous sérier, et de sérier les choses pour comprendre leur fonctionnement. cela appliqué aux hommes à donné des sources d’erreurs biens légitimes puisque nous sommes naturellement xénophobes et nous devons apprendre deux choses, qu’il n’y a qu’une espèce humaine, et que ses différentiations morphologiques ne constituent pas une race, bien qu’il est d’usage de distinguer trois critères de morphologies, les caucasiens, les « négrites », et les « mongolites ».
même si nous ne connaissons que imparfaitement leur migration, celle-ci est lié a la recherche de territoires nourricier. les quelques tribus qui survivent sur leur territoire nourricier, n’ont pas de nation ni de peuple.
c’est à partir de la sédentarisation qu’ont commencé, les délimitations territoriales et la nécessité de les protéger, tandis que les tabous et les totems se formalisaient par des représentation puis des us et coutumes et maintenant le droit positif dont il est issus.
la compétition pour sa nourriture et sa sécurité ont conduit les hommes a échanger à se reconnaitre des convergences d’intérêts, et à développer des usages et coutumes étroitement liées, a leur environnement et aux moyens de déplacement.

nous avons glissé du groupe au clan puis au peuplade, ensuite au peuple et enfin à l’universalité de l’espèce humaine.
entre temps nous avons sériés toutes les ethnies avec leurs caractéristiques « géohistoriques » (faconné par l’environement géographique qui construit l’histoire des hommes en interaction) et morphologiques.
dans cette évolution les peuples sont d’abords des sujets soumis à des dominant systémiques, le plussouvent des dieux multiformes qui ne discertent que de la repressentation qu’on les hommesd’eux mêmes, et nous savons que ce n’est qu’une longue histoire de conquête d’invasion par lesquelles les dominants imposent leur usages leur langues, et tiennent pour butins les populations qui vivent sur les territoires conquis. c’est ainsi que l’europe entière parlait le latin, mais naturellement ce n’était que les élites, alors que les populations qui appartenaient aux différentes nations parlaient leurs dialectes géohistoriques.
la première notion de peuple apprait avec le judaïsme, et en l’espèce il ne s’agit pas de population ni teritoriale ni ethnique mais religieuse. ce n’est que plus tard qu’avec les conquêtes elle se batira un territoire et avec sa diaspora se prévaudra de la notion de nation sans teritore jusqu’en 1948.

universalité humaine apparait avec le christianisme, si l’idée prospérent elle est distordu avec le développement du catholicisme dans lequel les hommes se réaproprie dieu au lieu de lui appartenir, et donnent libre cours à leur xénophobie au travers du prosélitysme et chaque religion monothéiste adoube ceux qui se livreropns des guerres fraticides pour agrandir leur territoire qui constituent pour l’occident du moins la formation des états que nous connaissons aujourd’hui avec des frontières plus ou moins évolutives en fonction des mariages des élites royales.
durant toute ces périodes il n’est ni question d’ethnie ni de nation, les populations ne sont que des sujets serviles. et lorsque l’époque de lumières arrivera, apparaitrons les premières oppositions dans le droit fil de la contestation protestante.
mais nous sommes toujoursdans des luttes de dominants systémiques, dont les populations sont absentes, mêmes pendant la révolution. ce n’est donc ni l’ethnie, ni la langue qui a constitué les nations, seulement le combats des élites, comme le font tous les animaux qui suivent le dominant du groupe.
pour ne parler que du français il ne faut pas oublier que c’est napoléon III qui a étendu l’usage du français administratif pour des raisons de gestion politique et non pour unifier une population.

alors l’on peut disserter sur cet état nation, sur notre nationalisme ou non, ce que nous pouvons constater aujourd’hui, c’est le poids de l’intérêt nourricier qui nous a poussé vers la mondialisation vers l’UE, et force est de constater que ce sont les élites qui ont soumis ce choix aux populations, sauf qu’aujourd’hui la démocratie et l’éducation a libérer la population qui n’est en rien un dominant systémique car c’est elle qui les élit. et c’est cette élite choisit qui appelle à l’identité ou au nationalisme toujours pour des raisons nourricières, nous disons aujourd’hui économique.
l’on ne peut donc pas parler de nation de manière abstraite, comme jeu intellectuel de la raison sans s’interroger des véritables motifs qui guident nos choix qui sont toujours instinctifs, la xénophobie et la défense de son territoire nouricier. ensuite nous pouvons discuter à l’infini de la justification de tous les divers paradigmes qu’ils revêtent.

cordialement.


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