Bonjour koustouzis
un bon raisonnement qui traite du paradoxe insoluble avec lequel nous devons
vivre, la nécessité d’apprendre pour survivre dans un espace sédentaire et
concentrationnaire à la poursuite de la production de sa subsistance quelles
qu’en soient les représentations.
ceci nous a conduit a la découverte de tout ce qui nous était possible de
comprendre que nous avons fixé par le langage, l’écriture aidé de la
technologie qui nous permet d’aller vite et qui nous ouvre les portes de
l’invisible, et tout cela avec l’usage d’un cerveau attardé, dont nous savons
que sa capacité et bien supérieure à l’usage que nous en retirons, mais qui se
recroqueville sans cesse sur lui même au service de ses émotions qui lui
demande de rassurer son être plutôt que de partir au devant de l’inconnu.
Ainsi ce que tu déplores des deux acteurs que tu cites, malgré leur talent et
capacité affiché n’est que le blocage d’un intellect. ce sont des gens brillants
au cerveau bloqué.
Il ne s’agit pas pour moi de leur en faire le reproche car c’est la
caractéristique commune, car l’on ne va pas vers l’inconnu ou l’incertitude
pour eux, sauf si l’on en est arrivé à comprendre que cette marche en avant est
commandé seulement par les trois éléments élémentaire que j’indique au début. Ils
nous condamnent d’aller de l’avant sans cesse car tout arrêt est une régression
qui nous ramène vers l’usage de notre cerveau attardé qui a du s’extraire de sa
boite crânienne pour investir des machines inertes.
Nous savons qu’actuellement en informatique, les ingénieurs atteignent leur
capacité pour lire tous les langages qu’ils ont inventé (13000), et demain nous
devront nous faire aider d’un calculateur quantique.
Pouvons nous ouvrir notre cerveau et tous les cerveaux à cela, je pense que
oui, et je milite toujours pour la création d’un enseignement universitaire
pour les adultes rémunérés afin de remplacer en partie la réduction inévitable
de la croissance basé seulement sur le consumérisme qui s’étend au monde en
véritable cancer si nous restons sur nos base
alors les deux acteurs que tu cites ils sont comme les fourmis ils les gardent
les rassures pour en retirer le niella. mais il est bien évident que tous ne
peuvent être des Laplace ou des Hawkins qui poser cette interrogation :
Comment un flux d’énergie
qui s’écoule sans but peut-il répandre la vie et la
conscience dans le monde ?
Actuelles. le seul fait de se la poser impose de « désapprandre »
tout ce que nous savons, pas pour se suicider, mais pour ouvrir notre cerveau à
l’inconnu pour être cette terre d’incertitude que quoi que nous fassions nous
la traversons journellement, certains avec le cerveau ouvert, d’autres avec le
cerveau bloqué.
Les deux sont nécessaires mais en quelle proportion, c’est la question.
Et quand nous voyons l’accroissement de la fracture intellectuelle,
c’est la part des homme bloqué qui l’emporte.
Cordialement...