Le sujet soulevé par l’auteur est intéressant : comment responsabiliser les acteurs sur notre terre ?
ma définition du risque « c’est pour celui qui le prend qu’il parait le plus faible », ne permet pas de nous assurer que ceux qui prendront un risque sauront évaluer le risque global qu’ils prennent et font prendre aux autres, tant à l’intérieur d’un périmètre étatique qu’à l’échelle de la Terre.
Ya actuellement ni justice fiable ni autorités à l’échelle nationales ni internationales capables de faire respecter des engagements implicites aussi forts que ce qui découleraient d’une vraie catastrophe, nucléaire ou autre. « Cas de force majeure ? »
Voyez la crise financière... oui quelques uns des joueurs sont tombés... mais ça n’a pas eu plus d’impacts que les 100 morts par balles sur les manifestants syriens.
Donc, pour ces forces énormes que nous savons déclencher ou en négliger la menace (127 millions de japonais...et tous les autres endroits sensibles de la planète) une combinaison d’assureurs, de réassureurs et de fonctionnaires incorruptibles (l’autorité de sécurité nucléaire française actuelle ? ) resteront utiles et nécessaires. Y compris ces militants forcenés qui finalement nous protègent.
Merci à Fukushima et à Tepco, d’avoir sans le vouloir, fait sonner le glas et réveillé notre vigilance de prométhéens incorrigibles (celui qui empêchera le dernier prométhée de tenter de dépasser les bornes et les limites, n’est pas encore né) .