Les métiers dit ingrats seront par voie de conséquence beaucoup mieux rémunérés pour devenir attractif.
Le RU doit s’accompagner d’une limitation des hauts salaires pour ne pas déclancher une hyperinflation
Avec ces 2 exemples, je ne vois plus bien à quoi sert le RU. Oui, ce qu’il faut c’est totalement changer les rémunérations. Par exemple, une femme de ménage doit être bien mieux rémunérée qu’un patron (et je le pense). Aujourd’hui les patrons sont parfaitement irresponsables (on le voit bien avec Fukushima) et leur métier est tout sauf pénible (pour ceux qui imagineraient des patrons stressés, comment être stressé quand on est irresponsable de ses actes ?). Donc les patrons et plus généralement tous ceux qui font partie d’une pseudo-hiérarchie doivent être au SMIC. Les gros salaires à ceux qui travaillent vraiment et font le boulot en définitive. D’ailleurs, si on regarde, la plupart de ceux qui sont bien rémunérés ne savent pas ce que c’est que le travail, ils n’y ont jamais touché.
Mais ceux qui gagnent le plus sont avant tout des rentiers (actionnaires et gros propriétaires fonciers) : là encore, aucun mérite à gagner beaucoup quand on doit sa fortune grâce à l’exploitation des autres (création de sa boite qui prospère sur le dos des employés) ou, beaucoup plus fréquent maintenant, grâce à papa (héritage). Il faut supprimer ce système de rente (capitalisme) qui n’est qu’esclavage déguisé.
Entre nous, diminuer légèrement le salaire des patrons ne permet pas d’éviter une hyperinflation (il y aura juste moins de yatchs et de voitures de luxe vendus : les riches n’entrent absolument pas en compétition avec la masse, dans leurs achats).
Conclusion : c’est de justice que vous parlez et le RU serait sûrement inutile dans un monde juste.
PS : je n’ai effectivement pas regardé ou lu tout (trop long) et surtout trop peu intéressant car trop peu réaliste : on tourne autour du pot sans parler des problèmes de fond que le RU soulève. Alors s’il y a des passages réllement concrets, dommage, ils sont noyés dans la masse démagogique.