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Commentaire de njama

sur Qui finance les campagnes sur le don d'organes ? Les labos et le contribuable


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njama njama 24 juin 2011 23:00

Bonjour Catherine

C’est la traversée du désert à ce que je vois ...

Encore une fois, je ne connais pas de trop ces questions concernant les transplantations, mais sur la question du financement du discours public... par analogie, je me suis souvenu d’un ancien post qui se rapprocherait du sujet.
Il suffit de transposer ... globalement « la santé » c’est devenue du business !

Je ne crains pas de l’affirmer car c’est en toutes lettres dans un Rapport du Sénat !
(comme le lien Rapport n° 476 (2006-2007) ne fonctionne plus, voici le nouveau :
http://www.senat.fr/rap/r06-476/r06-476.html )

Mon post date de cette farfelue pandémie A/H1N1 ( ICI Par njama (xxx.xxx.xxx.106) 12 janvier 2010 22:10)
je cite les éléments les plus croustillants !

"les laboratoires pharmaceutiques constituent les partenaires naturels des pouvoirs publics, en raison des moyens humains, techniques et financiers qu’ils mobilisent. En effet, le marché mondial du vaccin est en constante expansion, avec une augmentation des ventes de 13 % à 14 % chaque année, soit deux fois plus que les médicaments traditionnels.

B UNE PRODUCTION NATIONALE COMPÉTITIVE MAIS CONCURRENCÉE
La France est le premier pays producteur de vaccins et exporte 85 % de sa production. Notre pays dispose donc d’atouts certains mais il est de plus en plus directement confronté à la concurrence des pays émergents.

De par sa tradition industrielle en vaccinologie, la France possède de nombreuses usines sur son territoire. Son attractivité ne se dément pas à ce jour : récemment, GlaxoSmithKline a investi 500 millions d’euros dans la création d’une entité ouverte dans le Nord-Pas-de-Calais et destinée à la production de son nouveau vaccin contre le cancer du col de l’utérus.

Cette situation favorable doit être confortée par les pouvoirs publics par une politique ambitieuse d’installation et de maintien des sites de production, notamment grâce à une fiscalité attrayante. Au-delà du soutien à ce secteur économique, la France doit en effet conserver, et même accroître, sa capacité de production de vaccins pour être en mesure de faire face à l’augmentation brutale de la demande intérieure et mondiale en cas d’épidémie (de grippe aviaire ou de chikungunya, par exemple).

Knock (1923) n’a pas perdu une ride ...
Bien à toi



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