Quels sont les résultats de ses actions passées et présentes ? Quelles en seront les conséquences ? On tire un bilan ? Résultat : n’importe quoi. ça tire à hu et à dia dans les trois dimensions.
NKM ? Abréviation du : N’importe Koi Misérable. Les autres pays européens (Hollande, Belgique, Allemagne, Danemark, Norvège, Suède, Espagne, Portugal) se sont, sont en train de s’équiper pour faire face à la prochaine flambée des prix de l’énergie. Dans l’hexagone, la dynamique est devenue moribonde. Lorsque le litre d’essence sera à deux euros cinquante (plutôt que vous ne le pensez) il faudrait restreindre d’autre budget pour pouvoir continuer à circuler et se rendre sur son lieu de travail, quand ce n’est pas travailler tout simplement (cas des commerciaux). Les économies réalisées par l’équipement individuel des foyers permettaient de restreindre l’enveloppe allouée au poste EDF. Les subventions d’équipement permettaient d’étaler le coût de l’opération dans le temps. Dorénavant, le montant de celles-ci sera ramené à zéro. San aborder, le déficit dans les Pme, dont pour certaines le marché permettait un nouveau souffle, les pertes d’emplois induites ; c’est avant tout un tir direct contre le pouvoir d’achat des ménages.
Cela les préoccupe t ils vraiment ? J’en doute fort. Ils s’en foutent copieusement. Leurs frais sont pris en charge par l’administration, les ministères, les secrétariats d’état, les dépenses personnelles c’est presque un autre univers comme pour le sieur Joyandet et ses trajets en machine volante, Christian Blanc qui lutte pour le redressement de l’économie en consommant 12 000 euros de cigares en neuf mois, Eric Worth et son épouse et l’hippodrome de Chantilly.......non c’est trop. Le travail dans un ministère c’est facilement entre dix et douze heures par jours, effectivement. C’est terriblement contraignant. On se heurte à des inerties à stopper un tremblement de terre en une seconde. Cependant, on peut s’interroger sur l’orientation de ce travail. Intérêt général ou intérêts personnels ? J’ai comme l’intuition que la réponse une n’est pas la bonne.