Quant un riche investi, c’est qu’il escompte gagner à cours terme plus que son investissement de départ, sinon il n’investirait pas ! Ça parait évident mais développons un peu :
La seule préoccupation du riche est de minimiser les risques et de maximiser ses profits.
Dès lors lorsque vous comparez les flux d’argent, il rentre plus d’argent dans les portefeuilles des riches, qu’il n’en sort.
C’est donc un faux calcul que de croire que les riches font tourner l’économie... Que du contraire, ça l’appauvrit ! Les flux rapportés étant plus important que les flux investit.
Comment cela fonctionne concrètement ?
D’un côté, les riches, missionnent leurs banquiers pour veiller sur leur capital et surtout pour le faire croître. Au passage, le banquier prélève une commission (sois disant des frais de fonctionnement).
Vous, moi, le petit commerçant du coin, les indépendants, les petites PME, les entreprises, l’État... Lorsqu’ il faut un logement, lorsqu’il faut faire des travaux, lorsqu’il faut engager du personnel, etc... Nous empruntons de l’argent aux Banques. Si bien que tout l’argent mis en circulation vient toujours d’une banque, et cet argent en circulation est toujours le résultat d’un prêt avec intérêt. Le mot est lâché ; l’intérêt.
Si l’on fait la sommes de tous les prêts contractés auprès de toutes les banques, nous obtenons un total « P ». Notez à ce stade, que l’intérêt n’est pas injecté.
A présent, si vous faites la sommes de tous ce qui doit être rembourser vous obtenez un total R = P + l (où I est la sommes des intérêts)
Il ne faut pas avoir fait de grandes études pour comprendre que le système profite qu’aux nantis et aux banques.
Pis, ne voulant pas pas perdre son logement, ne voulant pas perdre son commerce, ne voulant pas fermer l’usine, ... Tous nous rentrons dans un combat acharné pour rembourser notre prêt avec intérêt. L’intérêt n’ayant jamais été injecté force tout le monde, à tous les niveaux, à rentrer en compétition.
Résultat, l’argent se raréfie, avec comme conséquences : expropriation, licenciements, chômage... La misère force alors les gens à se retrouver dans la rue, les crimes augmentes, les guerre se succèdent, etc...
Alors, ne dites pas qu’on à besoin des riches ! Leurs gros sous nous appauvrissent, et pervertis les banquiers qui n’ont pas intérêt à ce que ça change puisqu’il s’y retrouvent aussi !