@ cosmic dancer
Ce que je veux dire, c’est que il n’existe aucune explication concernant les troubles de l’identité sexuelle. Donc, il n’y a aucune raison que la théorie du genre, qui n’a pas plus de valeur scientifique que la psychanalyse, soit enseignée en cours de sciences naturelles.
Par contre, je n’ai rien contre le fait qu’elle soit mentionnée en cours de philosophie, puisque dans ces cours, il s’agit de débattre d’idées et non d’enseigner les sciences.
Alain Sokal, et Jean Bricmont, dans leur livre « impostures intellectuelles », a démontré avec éclat que les spécialistes en sciences sociales font , pour nombre d’entre eux, tout sauf de la science .
Ici un résumé de l’affaire Sokal :
Cette affaire a été le point de départ du livre, l’un des livres les plus importants écrits à la fin du XXème siècle et dont je vous conseille vivement la lecture.( éditions Odile Jacob )
Comme l’a souligné plus haut Senatus Populusque, la décision d’enseigner cette théorie en cours de sciences relève non pas de considérations scientifiques,mais de l’actiivisme et du programme politique d’un certain nombre de lobbys que SP a très bien détaillé dans son commentaire, lobbys dont on ne peut que regretter qu’ils fassent de l’entrisme idéologique dans les rouages de l’éducation nationale.